Un clip aux belles images, présentant un paysage urbain en noir et blanc, pour un titre qui nous dresse un portrait de la vie citadine, une vie pleine de contradictions et de désillusions, un véritable terreau pour les difficultés sociales et morales. Fort !
On avance, on se perd dans les rues de nos rêves,
Chacun dans sa misère contre le temps,
Les vices et la fatalité.
Si proche de l’éternel, mais dix ans en arrière,
Si loin du vide, au fond de nos corps empilés
Sur les quais de l’histoire, mais quelle histoire.
On a vu nos vêtements changer de couleurs au gré des hivers
Qui ne laissent de place qu’à la pluie, sous les nuages de nos enfers.
Détruits, enfermés de jour comme de nuit, à l’agonie mais dans la tradition de l’apathie dans nos quartiers
Au nom des écrasantes lois d’une minorité.
Amnésiques mais sincères du mal qu’on s’est bien fait,
Bien avant qu’on s’enterre sous les gravats d’une ville qu’on rêvait éclairée.
Chacun dans sa misère contre le temps,
Les vices et la fatalité.
Si proche de l’éternel, mais dix ans en arrière,
Si loin du vide, au fond de nos corps empilés
Sur les quais de l’histoire, mais quelle histoire.
On a vu nos vêtements changer de couleurs au gré des hivers
Qui ne laissent de place qu’à la pluie, sous les nuages de nos enfers.
Détruits, enfermés de jour comme de nuit, à l’agonie mais dans la tradition de l’apathie dans nos quartiers
Au nom des écrasantes lois d’une minorité.
Amnésiques mais sincères du mal qu’on s’est bien fait,
Bien avant qu’on s’enterre sous les gravats d’une ville qu’on rêvait éclairée.
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