31/10/2013

[Vidéo] Enter Shikari : "Rat Race"

Il est là, il est tout beau tout chaud : le dernier titre d'Enter Shikari, avec une vidéo en prime. "Rat Race" est le troisième et dernier morceau que les britanniques nous proposent pour cette année 2013. Après "The Paddington Frisk" et "Radiate", ce titre vient apporter une nouvelle pierre à l'édifice qu'est la musique du groupe. Toujours aussi éclectique et inclassifiable que le reste, "Rat Race" est encore la preuve que le quatuor n'a pas épuisé son inspiration en sortant de la plupart des sentiers battus des genres musicaux d'aujourd'hui. Nul doute que les fans du groupe y trouveront leur compte, mais il y a fort à parier que ce titre ne plaira pas à tout le monde. Personnellement, j'adhère.

[Album] 30 Seconds To Mars : "This Is War"

Artiste : 30 Seconds To Mars
Album : This Is War
Troisième Album
Sortie : 2009
Genres : Rock Alternatif, Rock Electro, Rock Expérimental
Labels : Virgin Records, EMI
Morceaux à écouter : Night Of The Hunter, Kings And Queens, Vox Populi

> Ecouter l'album sur Youtube <

Par avance, je suis désolé. Les fans de Jared Leto et de son groupe me maudiront sans doute pour mon propos suite aux (multiples) écoutes de cet album. Mais il y a des fois où ça ne passe pas. Enfin, je dirais plutôt "où ça ne m'atteint pas". Déjà que le groupe avait fait l'erreur, à mes yeux, de s'éloigner de la voie toute tracée par un premier album délectable avec un second bien moins fameux, voici donc un troisième effort que je n'ai sans doute pas compris ou su apprécier, je ne saurais dire. Le fait est que beaucoup de choses me font grincer des dents, ou me fatiguent quand j'écoute des extraits de cette galette, je n'y peux rien, c'est ainsi.

Pourtant le premier aperçu que j'avais eu de cet album m'avait plutôt emballé. Sauf que c'était oublier que la touche "Cobus", je ne la retrouverai sans aucun doute pas sur la version originale de "Kings And Queens". En effet, la cover faite par le "youtuber" pour ce morceau a été le tout premier extrait qu'il m'ait été donné d'entendre de ce troisième effort de 30 Seconds To Mars. Même si on est bien loin de ce qui faisait toute la puissance du premier album du groupe, il y a dans ce morceau toute l'essence de A Beautiful Lie, l'effort précédent.

C'est donc avec un avis très mitigé que s'achèvent ces nombreuses écoutes de ce This Is War. Ce qui est de plus en plus sûr, c'est que le groupe n'a décidément pas l'intention de revenir vers un Rock (un Métal ?) aussi épais que celui servi sur l'album éponyme. Et finalement, la nouvelle direction musicale prise par le trio se justifie assez bien par le fait que, justement, le groupe se limite à trois personnes. Jared, du haut de ses quarante ans passés (il se porte franchement bien, le garçon !) a pour habitude d'en faire des tonnes sur scène et ça, on ne peut le lui reprocher tant les prestations Live du groupe sont vivantes et remarquables de par la communion existant entre ses membres et la "Mars Army" (ou "l'Echelon"). Jared se permet d'ailleurs ces péripéties sur scènes car il n'est pas systématiquement obligé de jouer d'un instrument, et ce grâce aux nombreux arrangements Electro inclus dans la musique du groupe depuis A Beautiful Lie. Avec seulement deux musiciens à plein temps sur scène, le groupe arrive donc à produire une musique qui a l'air de plutôt bien fonctionner si on se réfère en l'engouement des fans. Personnellement, j'ai un peu de mal avec cette orientation musicale qui a mis la basse totalement à la trappe et fait de la seconde guitare un instrument presque optionnel (souvenez vous du clip de "Capricorn" où le groupe s'affichait avec quatre membres et quatre instruments !). En gros, on est loin du Rock pur et dur.

Toutefois ce n'est pas parce que, dans un sens, le nombre d'instruments s'est amoindri que la musique de 30 Seconds To Mars est devenue moins intéressante. Elle est simplement différente. Après, ça plaît, ou ça ne plaît pas. Personnellement, j'ai du mal, même si la mise en image de certains titres leur donne tout de suite plus de consistance que dans leur simple version audio (voir le clip de "This Is War"). Il faut reconnaître à Jared une certaine volonté de mettre le paquet pour pondre des clips très cinématographiques et bien réalisés qui sont parfois de véritables courts métrages, ce qui assure au groupe une certaine notoriété sur des sites comme Youtube ou Vevo (voir le clip pour "Hurricane"). Mais ça ne suffit pas à cacher la "misère" musicale de ces (trop ?) nombreux arrangements électroniques qui éloignent de plus en plus le projet musical du groupe d'un Rock pêchu. On en arrive même à se demander si 30 Seconds To Mars ne pond pas là un album concept tant les influences sont variées et tendent à perdre l'auditeur comme moi venu chercher ce qu'il avait tant aimé sur l'album éponyme ("Stranger In A Strange Land" avec ses synthés et sa boîte à rythme rapprocherait presque tout ça de la New Wave ?).

Bref, beaucoup de points noirs à mes yeux (et oreilles, comme d'habitude). Si je ne devais en lister que quelques uns, je pense que je parlerais de titres comme "100 Suns" ou encore "Alibi" où bien que la voix de Jared et ses multiples facettes soient bien mises en valeur, on s'endormirait presque. On peut aussi parler de la présence (surprenante !) de Kanye West sur "Hurricane" qui apporte sa touche dégueulasse (oui je le dis !) de Pop Music des plus commerciales à grand renfort d'Auto-Tune. Vraiment pas le bon plan pour rehausser le niveau de cet album déjà bien difficile à cerner et plutôt mou dans l'ensemble.

Bon, ne tournons pas autour du pot. Je me suis vraiment ennuyé en écoutant cet album. Dommage car il ça et là de bonnes choses qui, bien qu'un peu trop "conceptuelles" pour moi : les très nombreux choeurs, des passages Electro parfois non justifiés ou encore le dernier morceau ("L490") renforçant le côté "culte religieux" que les fans vouent au groupe de Jared Leto qui a cette désagréable attitude de s'afficher comme un trio religieux, avec ses icônes à la fois de mode, de Rock ou de je ne sais trop quoi encore. Un manque certain d'humilité à mes yeux qui n'est pas du tout en adéquation avec le message que porte le groupe. Pourquoi en faire des tonnes et renvoyer une image qui transpire tant l'argent quand on sort des textes prônant une certaine idéologie à l'encontre du "système" ? Car les moyens sont énormes, tant dans les clips que dans certains prestations Live. Tant de questions pourtant évidentes pour moi auxquelles je ne trouve malheureusement pas de réponse dans l'attitude générale du groupe avec cet album. Dommage, car il y avait un potentiel vraiment énorme ! Je pense passer tout simplement à côté du phénomène...

[Vidéo] The Qemists : "No More"

Un peu de Drum and Bass avec la dernière vidéo de The Qemists pour "No more", l'occasion de retrouver ce cher Matt Rose que je croyais disparu depuis son évincement de Monuments suite à sa participation au premier album du groupe. Le gaillard a donc rejoint The Qemists avec qui il avait déjà travaillé à l'époque de l'album Spirit In The System en 2010. Avec "No More", The Qemists continue de produire une Drum and Bass énergique aux sonorités très Rock, directement dans la lignée de Pendulum (mais ceux qui connaissent The Qemists le savaient déjà). Une vidéo avec des images Live impressionnantes, preuve que le groupe commence à véritablement faire parler de lui !

30/10/2013

[Live Report] Chelsea Wolfe + Russian Circles (Divan du Monde - Paris)


C'était la semaine dernière au Divan du Monde à Paris, le mercredi 23 octobre 2013. Un joli programme que Chelsea Wolfe et Russian Circles dans la même soirée et rien que pour ça, le prix du billet de train depuis Lyon et les kilomètres ne sont pas des arguments suffisants pour se permettre de rater un truc pareil. Direction Pigalle et sa rue des Martyrs pour découvrir la petite salle du Divan du Monde, une file d'attente déjà conséquente attendant patiemment l'ouverture des portes.

Je suis malheureusement obligé de préciser que j'ai passé cette soirée dans un fort état d'ébriété, ce qui m'a amené sans trop de gène à (poliment) demander à ce qu'on m'introduise dans la file à seulement deux mètres des portes encore fermées. Le concert était censé débuter à 19h mais, comme bien souvent, et n'importe quel amateur de concert sait ça, il n'en est rien. Les portes s'ouvrent vers 18h45 (si mes souvenirs brumeux sont bons...) et c'est une charmante petite salle que l'on découvre, avec la scène à portée de bras, son bar dans le fond et un balcon avec canapés et tout le confort qu'un salon peut offrir pour profiter de ce genre d'évènement. Le public est lui aussi très calme et on sent bien qu'on a affaire à des amoureux de la musique et pas n'importe quels sauvageons venus enflammer un quelconque dancefloor. Car Chelsea Wolfe et Russian Circles ont beau avoir respectivement quatre et cinq (depuis la sortie tout fraîche de Memorial) albums au compteur, ce n'est pas en France que le public est très réceptif à ce genre de musique...

L'attente semble longue mais on a déjà vu pire, il faut l'admettre. Les lumières s'éteignent et c'est une ambiance très tamisée qui accompagne l'arrivée de Chelsea Wolfe et ses musiciens sur scène. Vous pardonnerez ici mon manque de souvenirs précis pour toute la suite des évènements car mon taux d'alcoolémie m'a littéralement fait planer pendant les deux heures de concert qui ont suivi : un vrai régal. Toutefois, je me souviens clairement avoir eu l'image d'un personnage sorti tout droit de l'univers de Tim Burton lorsque Chelsea s'est présentée face à la fosse devant son micro, ses longs cheveux sombres tombant devant son visage, affublée d'une robe très "gothique" et d'un châle léger et pâle. Il est presque 20h quand le concert commence et c'est une expérience très surprenante que je découvre pour un concert Live : la voix suave et dérangeante de Chelsea débute ses odes avec une légèreté et une froideur captivantes qui transpercent comme si un spectre nous passait au travers. La musique du groupe est lourde, épaisse et en même temps cristalline (dans un sens nuancé). Je n'avais pas vraiment pris connaissance de la discographie du groupe avant l'évènement et je n'ai donc aucun souvenir notable des titres qui ont été joué, tout comme aucun ne m'a particulièrement marqué. Cela dit, l'expérience et la prestation du groupe ne laissent pas indifférents : c'est intimiste, dégoulinant de noirceur pourtant touchante et la voix de Chelsea porte le tout de façon hypnotisante, comme une Björk sombre et damnée. Je ne suis pas conquis mais c'est avec l'impression délicieuse de n'avoir eu le groupe que pour moi que s'achève le set. Car la salle est pleine, apparemment, mais on est loin d'être serré et de se donner des coups de coudes : des conditions parfaites et vraiment trop rares pour un concert ! La proximité de la scène laisse tout bonnement penser que les musiciens sont là pour chacun d'entre nous et personne ne boude son plaisir : la fosse est hypnotisée et silencieuse, sans mouvement de foule ni violence physique. Parfait !


Mais ce que tout le monde attend, ce sont les trois types de Chicago et leur musique. Russian Circles arrive sur scène environ une heure et demie après le début des festivités (je vous laisse faire le calcul) et c'est un bonheur incommensurable qui grandit en moi (je pèse mes mots). C'est maintenant l'heure de vivre l'expérience du trio en Live, après tant d'années à me farcir et re-farcir leurs albums, que ce soit en version galette ou mp3, à n'importe quelle heure de la journée (oui, j'aime ce que fait Russian Circles, ça se sent, hein ?). Alors évidemment, je ne m'attendais pas à une grande communication avec la fosse de la part du trio, ce qui est tout à leur honneur quand on fait de l'instrumental. Car le set est parfait : pas une erreur, pas une seule note ne déborde, chaque instrument est audible et retranscrit au mieux ce qu'il est possible d'écouter en version CD. C'est carré, c'est propre, les balances sont presque parfaites et bien que les pauses entre chaque morceaux soient relativement longues à cause d'accordages minutieux, on en prend plein la gueule, et avec joie. La fosse se réveille un peu mais reste relativement sage, profitant du show. Et là je réalise combien le public qui assiste à des concerts tels que celui-ci sont des gens qui aiment la musique, la vraie musique. Personne n'entame un quelconque pogo et avec du recul, j'ai presque l'impression d'avoir manqué de respect envers mes confrères spectateurs car ayant passé l'intégralité du concert à sautiller sur place, à "headbanger" et à me balancer sous l'effet de la musique et de ma bière prise au bar. Pendant toute la durée du concert, le trio mettra un point d'honneur à jouer fort mais très très juste. Dave Turncrantz massacre ses cymbales et ses toms, ne ménageant aucunement sa caisse claire, tandis que Brian Cook (toujours en chemise à carreaux) profite de balances parfaites pour faire entendre sa basse (chose trop rare de nos jours lors de concerts). Mike Sullivan, quant à lui, fait cracher sa guitare les riffs lourds propres à la direction artistique prise depuis Empros avec "309", "Mlàdek" et surtout le beaucoup plus récent "Deficit". Le groupe jouera même le très poétique (et vieux) "Carpe" ce qui suffira à me combler tant Enter, le premier album, est un bijou pour moi. Ajoutez à cela "Harper Lewis", "Geneva" ou encore "Youngblood" (parmi d'autres) et on obtient un cocktail gagnant de presque dix ans de carrière et cinq albums en boîte. Une sorte de Best Of dont le rappel justifiera le retour de Chelsea Wolfe sur scène pour "Memorial" avant le "Youngblood" de clôture. 

Russian Circles ne s'est pas foutu de nous et on ressort avec le sourire, un très grand sourire, pratiquement pas transpirant, la température de la salle et les conditions ayant été optimales pour un concert ô combien appréciable, comme si les artistes étaient venus jouer chez nous, dans notre salon. Le pied ! Mais ce qui m'a surtout marqué (et ce, même si j'avais déjà regardé des extraits Live de Russian Circles sur le net), c'est l'incroyable humilité du trio de Chicago qui ne s'accorde aucune gestuelle pompeuse ou une mascarade scénique ridicule. Non, ces gars-là ont du talent et l'offrent généreusement au public à travers leur musique, chacun restant concentré sur sa partie et son instrument tout le long de la prestation. Immense respect !

Vidéos Youtube par Indiegilles et Bizkitos Del Toro

29/10/2013

[Vidéos] Chunk! No, Captain Chunk! / Maniacx

Un nouveau clip pour Chunk! No, Captain Chunk! pour "Haters Gonna Hate", extrait du second album sorti cette année avec une référence à la culture Geek, le tout sous des jets de peintures bien dégueulasses. L'esprit Pop Punk et Easycore bien comme il faut !

Et Maniacx qui offre une nouvelle vidéo pour illustrer "Vision", le titre qui donne son nom à l'EP sorti par le groupe l'an dernier, avec des images de la tournée réalisée cette année : énergie Live et bonne humeur !

16/10/2013

[Hip Hop / Rap] Gavlyn et Eminem

Nouvelle vidéo pour Gavlyn et un nouvel extrait de son futur album avec "Guilty Pleasure".



Nouveau titre pour Eminem qui assure la promo de son nouvel album. "Rap God" pourrait paraître un peu prétentieux mais il est difficile de contester le talent face à un flow aussi destructeur et maîtrisé ! Eminem arrive bel et bien à se surpasser, même après tant d'années, et ça tiendrait presque du génie...

03/10/2013

[EP] Koan Sound : "The Adventures of Mr. Fox"

Artiste : Koan Sound
EP : The Adventures of Mr. Fox
Sortie : 2012
Genres : Electro, Glitch Hop, Dubstep
Label : Owsla Records
♥♥♥
> Ecouter l'EP sur Youtube <

Il aura fallu deux EPs seulement au duo britannique Koan Sound pour imposer sa touche Glitch Hop au milieu de tout le bordel dubstep de ces quelques dernières années. Un son très caractéristique s'imprégnant librement de genres musicaux éclectiques tels que le Hip Hop, le Jazz et d'autres trucs un peu plus abstraits et parfois personnels. Après un très bon Funk Blaster sorti un an auparavant, Koan Sound remettait le paquet avec ce troisième EP de sept titres (dont trois remixes), le tout pour une bonne grosse demie heure de son Electro : plutôt consistant.

Pas trop compliqué cependant de deviner ce qui nous sera servi ici, le duo ayant largement préparé le terrain avec les deux EPs précédents. Un effet de surprise quelque peu limité, donc, mais on aurait tort de dire que Koan Sound se répète. Les influences de Max Out et Funk Blaster sont bien là, mais avec un peu de fraîcheur et de nouveauté tout de même.

C'était un teaser bien sympathiquement orchestré qui annonçait la couleur : quatre morceaux originaux présentés intelligemment grâce à des univers visuels contrastés et justifiés (s'appuyant d'ailleurs sur les éléments du visuel de l'EP). Ainsi, on retrouve le ghetto blaster pour "Easter Thug", morceau qui ressemble d'ailleurs le plus à l'ensemble des titres proposés sur Funk Blaster, suivi par ce qui ressemble à des explosions psychédéliques proches du feu d'artifice pour un "Sly Fox" jazzy au possible représenté sous son lampadaire en dandy décalé. On a déjà plusieurs éléments qui semblent n'avoir aucun lien entre eux... Et ça n'arrête pas avec la présentation de "80's Fitness" (qui profite d'ailleurs d'un clip plutôt comique) et son poste de télévision vintage affublé de deux crânes sortis d'on ne sait où. Enfin, le teaser se termine sur "Introvert" et des plans de montagnes enneigées. Difficile d'y voir très clair dans tout ça.

En effet, ces quatre titres sont, dans leur approche, très différents. Les sonorités, bien que propres à Koan Sound, sont tout aussi contrastées que les choix visuels faits dans le teaser. Et tant mieux ! Car à la première écoute, on ne sent pas beaucoup la différence entre chacun d'entre eux. Pourtant, il y a du nouveau dans la musique du duo. Et la palme revient à "Introvert", sans aucun doute le morceau le plus contemplatif de Koan Sound à la sortie de l'EP : des sonorités organiques, liquides, qui donnent un aspect très "insectoïde", comme si l'ambiance de ce morceau grouillait de minuscules êtres vivants. Mais on ne va pas lister chaque son tant la palette est ici encore trop variée. L'écoute se fait claire et limpide et invite au voyage, tout simplement (on notera d'ailleurs que ce morceau annonce parfaitement bien la couleur du futur EP produit avec Asa en cette fin d'année 2013).

Concernant les remixes, il est intéressant de voir apparaître Reso (qu'on n'a plus vraiment besoin de présenter) et Neosignal (le duo composé de Phace et Misanthrop, deux protégés de Noisia) qui n'avait pas encore sorti son album à cette époque. Quant à Opiuo, c'est grâce à cet EP que j'ai pris connaissance de l'australien qui se cache derrière ce nom.

En bref, un EP vraiment sympa où Koan Sound reste fidèle à sa touche et sa musique mais en offrant ça et là quelques nouvelles subtilités qui offrent leur petit lot de surprises. Personnellement, le plaisir n'a pas été aussi grand qu'à la découverte de Funk Blaster mais l'intérêt est tout de même là : ça passe vraiment bien.

02/10/2013

[Vidéos] Vrac de début Octobre.

Pas mal de choses ces derniers temps et je suis encore à la bourre pour faire tourner mais faut dire que je prends pas trop le temps de rédiger en ce moment... Enfin bref, du clip et de la vidéo en veux tu en voilà, pas pour tous les goûts, mais c'est pas grave.
On commence avec le clip de Lodz, un groupe de chez nous, qui sortira son premier album bientôt (le 18 octobre, pour être précis). Un joli clip à la photographie soignée pour le titre "Leading The Rats".
Ensuite, plus conventionnel et beaucoup moins pêchu que fut un temps, Ill Niño a balancé un nouveau clip pour "Forgive Me Father", un morceau plutôt "calme" mais dont les textes restent intéressants : le minimum vital pour un groupe ayant déjà quelques années derrière lui.
Enfin, on tape davantage dans le "what the fuck" avec la dernière vidéo de Lindsey Stirling qui n'a pas fini de s'attirer les éloges de la communauté geek en reprenant le générique de Pokemon, toujours au violon et sur fond Dubstep.



Pour le reste, une petite interview d'un groupe de ma contrée nivernaise, Les K-Nards Boiteux, qui ont sorti leur premier album il y a de ça quelques mois, alliant Punk Hardcore et influences Ska.
Puis une petite vidéo de Vida Killz, membre de l'Organized Threat, tout comme Gavlyn, qui pointe d'ailleurs le bout de son nez dans la vidéo.
Et pour terminer, une petite "lyrics video" pour Early Seasons et le titre "Welcome To Salem".