Le rappeur français qui vient tout juste de recevoir trois Victoires de la Musique lors de l'édition 2018 passe devant et derrière la caméra pour un clip tourné à la verticale au format "Snapchat / téléphone portable" où il endosse littéralement tous les rôles cités dans ses textes. Un gros travail d'incrustation et de maquillage pour une nouvelle vidéo à la fois drôle et réussie.
28/02/2018
[Vidéo] Orelsan : "Défaite de Famille"
Dire que le clip pour "Défaite de Famille" était attendu est tout simplement un euphémisme. Le morceau qui caricature à l'extrême une fête de famille chez Orelsan et extraite de son dernier album La Fête est Finie méritait un clip à la hauteur du portrait acide qu'il dépeint. Et comme à son habitude, Aurélien Cotentin ne déçoit pas !
Le rappeur français qui vient tout juste de recevoir trois Victoires de la Musique lors de l'édition 2018 passe devant et derrière la caméra pour un clip tourné à la verticale au format "Snapchat / téléphone portable" où il endosse littéralement tous les rôles cités dans ses textes. Un gros travail d'incrustation et de maquillage pour une nouvelle vidéo à la fois drôle et réussie.
Le rappeur français qui vient tout juste de recevoir trois Victoires de la Musique lors de l'édition 2018 passe devant et derrière la caméra pour un clip tourné à la verticale au format "Snapchat / téléphone portable" où il endosse littéralement tous les rôles cités dans ses textes. Un gros travail d'incrustation et de maquillage pour une nouvelle vidéo à la fois drôle et réussie.
27/02/2018
[Vidéo] Shake Shake Go : "Dinosaur" (Paroles / Lyrics)
La bande emmenée par Poppy Jones et répondant au nom de Shake Shake Go semble n'être désormais plus qu'un quatuor mais le groupe est encore bien là et marque son retour en 2018 avec un nouveau morceau servi par un clip.
Il y a maintenant deux ans que le combo franco-gallois a présenté son premier album All In Time (en écoute intégrale sur Youtube) et on retrouve ici son chaleureux mélange de Pop-Rock-Folk où la production semble avoir été boostée d'un cran par rapport à des titres comme "England Skies" ou "We Are Now". En gros, ça bouge plus, et c'est pas déplaisant du tout ! On trouve aussi sur le refrain quelques bonnes ondes qui peuvent rappeler (de très loin, certes) Siamés et son loup ("The Wolf").
Il y a maintenant deux ans que le combo franco-gallois a présenté son premier album All In Time (en écoute intégrale sur Youtube) et on retrouve ici son chaleureux mélange de Pop-Rock-Folk où la production semble avoir été boostée d'un cran par rapport à des titres comme "England Skies" ou "We Are Now". En gros, ça bouge plus, et c'est pas déplaisant du tout ! On trouve aussi sur le refrain quelques bonnes ondes qui peuvent rappeler (de très loin, certes) Siamés et son loup ("The Wolf").
Let's get the dinosaur, the dinosaur, the dinosaur ready
Let's get the dinosaur, the dinosaur, the dinosaur out
My friend I have been so alone / Out here in the world on my own
I think that I need you some more
Five years blew away with the wind / Broke car, dirty bar, summer fling
My friend are we still wild things ?
We drove our cars to the ridge / Drank rum and prayed God forgives
We made mistakes, made them all / We'd never break, we'd never fall
We'd sing then dance the devil's song / And watch our sins leave with dawn
Mountains will shake, the sun will roar
Let's get the dinosaur, the dinosaur, the dinosaur ready
Let's get the dinosaur, the dinosaur, the dinosaur out
Let's get the dinosaur, yeah hear me roar, the dinosaur's coming
Let's get the dinosaur, the dinosaur, the dinosaur out
Oh won’t you come on
Run run like a child through the night / Let's dance on a clear diamond sky
I'm leaving the world for one night
I don't even know why we changed / Grew up and went our separate ways
My friend I'll be yours to the grave
Let's raise a glass to yesteryear / And thank the Lord we made it here
We made mistakes, made them all / Tonight I'm sure we'll make some more
We'd sing then dance the devil's song / And morning's not far along
Memories keep and love will hold
Well I've been waiting for you / To cut me loose
And remind me
Yeah I've been waiting for you / To break on through
So come and find me
23/02/2018
[Vidéo] Underoath : "On My Teeth" (Paroles / Lyrics)
Si Underoath avait amassé un impressionnant nombre de fans au fil de sa carrière, cela implique donc qu'un gros paquet de monde a du sauter au plafond en apprenant que le groupe se reformait et annonçait un huitième album pour 2018.
Le groupe qui s'était lui-même défini comme une formation de Hardcore chrétien sortira Erase Me le 6 avril 2018 chez Fearless Records, cet album s'annonçant déjà comme son premier opus profane, les textes de "On My Teeth" présentant déjà une déclinaison de "fuck", ce qui, mine de rien, est un petit événement dans la discographie de Underoath !
Le groupe qui s'était lui-même défini comme une formation de Hardcore chrétien sortira Erase Me le 6 avril 2018 chez Fearless Records, cet album s'annonçant déjà comme son premier opus profane, les textes de "On My Teeth" présentant déjà une déclinaison de "fuck", ce qui, mine de rien, est un petit événement dans la discographie de Underoath !
Let’s get this straight / I’m fine without you
I’m not your fucking prey / So save yourself
And no one else
What you believe / Your life is a lie
Get over it
You got the best of me / You stabbed me in the back I taste you on my teeth / You’re like a heart attack And I’m not ok / I’m headed down the drain I still feel safe / Down here where I belong So where were you / When I fell out Went back into the dark / I’m lost again So don’t come find me What you believe / Your life is a lie Get over it One day you might be hungry
You got the best of me / You stabbed me in the back I taste you on my teeth / You’re like a heart attack And I’m not ok / I’m headed down the drain I still feel safe / Down here where I belong So where were you / When I fell out Went back into the dark / I’m lost again So don’t come find me What you believe / Your life is a lie Get over it One day you might be hungry
21/02/2018
[Vidéo] Counterparts : "You're Not You Anymore" (Paroles / Lyrics)
On ne le dira jamais assez : balancer un clip bien scénarisé, avec une belle photo et où on ne voit pas les musiciens jouer sur leurs instruments a bien souvient beaucoup plus d'impact pour porter la musique et les textes du morceau concerné par la vidéo.
Counterparts a sorti son dernier album You're Not You Anymore en septembre 2017 et a choisi de mettre des images sur le titre éponyme de ce cinquième effort. La réalisation a été confiée à Our World Is Grey et le résultat est tout simplement de qualité. Le sujet ? La dépendance à toute forme de drogue, qu'il s'agisse de l'amour ou de tout autre produit naturel ou de synthèse. Fort !
Counterparts a sorti son dernier album You're Not You Anymore en septembre 2017 et a choisi de mettre des images sur le titre éponyme de ce cinquième effort. La réalisation a été confiée à Our World Is Grey et le résultat est tout simplement de qualité. Le sujet ? La dépendance à toute forme de drogue, qu'il s'agisse de l'amour ou de tout autre produit naturel ou de synthèse. Fort !
A garden grew between us in the love we lived without.
Remaining faithful to the flood, our tears have purpose in a drought.
Tread lightly, so footprints can't disturb the bed we've made.
With restlessness reserved for both the bodies it contains.
Aim your sharpest arrow at the center of my chest.
A memorial to signify the sense of helplessness.
We dare not mourn our past lives, our loss will be reborn...
Because I couldn't love who you were, but you're not you anymore.
Sew your skeleton to mine, I'm no good on my own.
Stitch yourself to either side of me so I will never be alone.
We mend our past mistakes as a symbol that we've grown.
So we no longer place our weight on top of broken bones.
Mark an end to aimless roaming with a double sided knife.
If we develop eyes for others, may we both be stripped out of sight.
Liken our divide to partitions in the earth.
Wrapped in walls of vines, growing out of common ground.
A garden grew between us. Our tears have purpose in a drought.
Mark an end to aimless roaming with a double sided knife.
Taking steps towards each other, we could end both our lives... and that'd be fine.
Remaining faithful to the flood, our tears have purpose in a drought.
Tread lightly, so footprints can't disturb the bed we've made.
With restlessness reserved for both the bodies it contains.
Aim your sharpest arrow at the center of my chest.
A memorial to signify the sense of helplessness.
We dare not mourn our past lives, our loss will be reborn...
Because I couldn't love who you were, but you're not you anymore.
Sew your skeleton to mine, I'm no good on my own.
Stitch yourself to either side of me so I will never be alone.
We mend our past mistakes as a symbol that we've grown.
So we no longer place our weight on top of broken bones.
Mark an end to aimless roaming with a double sided knife.
If we develop eyes for others, may we both be stripped out of sight.
Liken our divide to partitions in the earth.
Wrapped in walls of vines, growing out of common ground.
A garden grew between us. Our tears have purpose in a drought.
Mark an end to aimless roaming with a double sided knife.
Taking steps towards each other, we could end both our lives... and that'd be fine.
19/02/2018
[Vidéo] Resolve : "Binarity" (Paroles / Lyrics)
C'est une année chargée qui s'achève pour Resolve, le groupe lyonnais qui a sorti son premier EP Rêverie en octobre 2017 (en écoute intégrale sur BandCamp).
Si les premiers titres ont d'abord été présentés au compte-goutte en étant servi chacun par une vidéo, la sortie de ce premier recueil a été une étape importante pour la formation nouvellement née avec la publication de la vidéo pour "Rêverie". Cela n'a pas empêché le groupe de continuer de publier des clips pour accompagner chacun des deux titres suivant. Après "Navel-gazing", "Binarity" clôt donc cet ensemble et la vidéo qui l'accompagne revient sur cette première année de concerts avec comme credo la volonté de privilégier les relations humaines dans un monde où le virtuel et les machines prennent de plus en plus de place. Ce qui revient, malheureusement, à nager à contre-courant... et se noyer.
Si les premiers titres ont d'abord été présentés au compte-goutte en étant servi chacun par une vidéo, la sortie de ce premier recueil a été une étape importante pour la formation nouvellement née avec la publication de la vidéo pour "Rêverie". Cela n'a pas empêché le groupe de continuer de publier des clips pour accompagner chacun des deux titres suivant. Après "Navel-gazing", "Binarity" clôt donc cet ensemble et la vidéo qui l'accompagne revient sur cette première année de concerts avec comme credo la volonté de privilégier les relations humaines dans un monde où le virtuel et les machines prennent de plus en plus de place. Ce qui revient, malheureusement, à nager à contre-courant... et se noyer.
Assisted by algorithms / This is the new era the world was waiting for
Our children mesmerized in numbers / Everything is under control
Until the rise of the machines
We are surrounded by virtual eyes / Signing rules we don't even read
More clicks, less handshakes
We never meet each other but we know everything
Brand new softwares, new downloads / Another swindle at the crossroads
Approving to be tracked / Approving to be anesthetized
We just need to expose our happiness to the crowd
The notion of what's real / The concept of sharing
Redefined by robots / Outraged by the race for growth
Binarity of feelings / Technology slavery
Convinced we're going forward
When we're just drowning
These needs have been created by us / Constantly looking for more comfort
Annihilating the values of our ancestors
Convinced it's what we need / When we just burying ourselves.
Collecting relationships as stamps
Consciously creating new constraints.
We're drowning
We're all drowning
17/02/2018
[Vidéo] Royal Coda : "Anything To Save" (Paroles / Lyrics)
Et voilà un nouveau projet musical tout droit venu de chez Blue Swan Records. Royal Coda est un trio composé par Kurt Travis, Sergio Medina et Joseph Arrington, des noms qui, s'ils ne vous disent rien, reviennent assez souvent si on parle de A Lot Like Birds, Dance Gavin Dance, Stolas, Sianvar ou d'autres projets encore.
Afin de présenter le trio et sa musique, on a droit à un extrait du premier recueil que Royal Coda devrait livrer courant printemps 2018 servi par une vidéo qui fait davantage office d'habillage visuel que de réel clip (apparemment, les photos auraient été prises dans les années 80 au Japon, en Thaïlande, en Angleterre, en Argentine et aux USA). Voilà qui ne nous avance pas, certes, mais reconnaissons tout de même que les mecs du label Blue Swan savent y faire pour produire un Rock rapidement identifiable et qui fait tout de suite mouche, ce qui pourrait d'ailleurs lui valoir l'appellation de swancore.
Afin de présenter le trio et sa musique, on a droit à un extrait du premier recueil que Royal Coda devrait livrer courant printemps 2018 servi par une vidéo qui fait davantage office d'habillage visuel que de réel clip (apparemment, les photos auraient été prises dans les années 80 au Japon, en Thaïlande, en Angleterre, en Argentine et aux USA). Voilà qui ne nous avance pas, certes, mais reconnaissons tout de même que les mecs du label Blue Swan savent y faire pour produire un Rock rapidement identifiable et qui fait tout de suite mouche, ce qui pourrait d'ailleurs lui valoir l'appellation de swancore.
I thought for sure you were the end of me, oh
I gave everything I could to you
just to see that loving smiling face
It wasn't in the cards for me and you
The problem's blue
I would have tried anything to save the contracts we made
Not knowing it was you who wanted out
I couldn't save
I would have tried anything to save what we made
Not knowing it was you who wanted out
Now the ship is sailing far away
From the harbor of love and stability
Stabbing right where it hurts by my left lung
And now the loneliness has just begun
I gave you everything
All you needed was love
I would have tried anything to save the contracts we made
Not knowing it was you who wanted out
You could have told me, you could have told me a long time ago
16/02/2018
[Vidéo] Thornhill : "Reptile" (Paroles / Lyrics)
Si un groupe comme The Brave semble assez mal parti pour être le digne successeur de Northlane, c'est peut-être du côté de Thornhill qu'il va falloir regarder.
Le groupe australien originaire de Melbourne qui vient de sortir un nouvel EP baptisé Butterfly via le label UNFD avait déjà présenté un premier recueil baptisé 13 dès l'année 2016 et ce qui est bien, c'est que ce premier EP est en téléchargement libre via BandCamp. Thornhill risque d'être un groupe à suivre dans les mois et années à venir, son Métal/Métalcore alternatif pouvant facilement ravir les fans de groupes comme Northlane, Architects ou encore Novelists. Et si vous avez accroché, vous pouvez aussi jeter un œil et une oreille au clip de "Limbo" paru pendant l'été 2017.
Le groupe australien originaire de Melbourne qui vient de sortir un nouvel EP baptisé Butterfly via le label UNFD avait déjà présenté un premier recueil baptisé 13 dès l'année 2016 et ce qui est bien, c'est que ce premier EP est en téléchargement libre via BandCamp. Thornhill risque d'être un groupe à suivre dans les mois et années à venir, son Métal/Métalcore alternatif pouvant facilement ravir les fans de groupes comme Northlane, Architects ou encore Novelists. Et si vous avez accroché, vous pouvez aussi jeter un œil et une oreille au clip de "Limbo" paru pendant l'été 2017.
Born from fumes / And built from the inside
I roll my eyes to the back of my head / My salvation is dead
Blood enters in / Ventilation for my skin
I can feel the dirt it runs through my veins
I enter eternal pain / My life is yours to gain
And It turns me inside out
I contort and dance you just sound deranged
Its human nature to stay the same
I laugh and I shake from the heat here
Let me tell you about pain
I do the devils dance / And it's all in my head
My blood is cold and I'm painted in red
I'd crush my empty skull if it meant no pain
I'll stay hidden underwater till you go insane
Does this happen to you or just me ?
If so let me see / Let me in
Let me see
I had to learn how to adapt
With my eyes pushed out
And my hands held behind my back
Oh hunters I can be your prey
Just promise me you'll stay
If I listened to you I wouldn't be the same
Watch as I put myself in the flame
I still hear it ring in my ears
All this pain has brought me to tears
I'm not ready to fight but you should
Don't complain when I stand where you should
Like a trance / I move with your voice
Under chants of horror around me
And I think to myself what a life
Why be here if I’m going to die
14/02/2018
[Vidéo] Rolo Tomassi : "Aftermath" (Paroles / Lyrics)
Cela faisait plusieurs moi que Rolo Tomassi avait annoncé son nouvel album, ce dernier répondant au nom de Time Will Die And Love Will Bury It et se dévoilant grâce à plusieurs morceaux balancés au compte-goutte : "Rituals" en octobre 2017 puis "Balancing The Dark" moins de deux mois plus tard.
Ce nouvel opus, prévu pour le 2 mars 2017, ne promet pourtant pas que de la noirceur et de la violence, la voix mutante d'Eva Spence proposant aussi un chant clair et doux, comme sur ce magnifique "Aftermath" qui met en valeur toute la face progressive et poétique de la musique de Rolo Tomassi. L'album est en écoute intégrale sur BandCamp.
Ce nouvel opus, prévu pour le 2 mars 2017, ne promet pourtant pas que de la noirceur et de la violence, la voix mutante d'Eva Spence proposant aussi un chant clair et doux, comme sur ce magnifique "Aftermath" qui met en valeur toute la face progressive et poétique de la musique de Rolo Tomassi. L'album est en écoute intégrale sur BandCamp.
In practice past, I'm closing off
Untethered by visions
Unfamiliar
All lines of sight / Obstructed by light
For what lies beneath
And remains on the surface
Don't blame all that is lost
We revive ourselves
I'll break it off / Severing all ties
I won't look back / Fragments must realign
Dimming the sparks / That burned so bright
We'll never know how this could be
To build it up and break it off
There's more to keep and less to leave behind
There's more to lose and more to try and find
Unafraid of the aftermath
The bones of what's below will never grow
13/02/2018
[Vidéo] Mate's Fate : "Alone" (Paroles / Lyrics)
Décidément, la scène lyonnaise connaît une période faste et 2018 ne fera pas exception. Cette année, Mate's Fate sortira son premier album qui répondra au nom de Eve.
Rappelons que la formation qui évolue dans un style Métalcore et Post-Hardcore modernes a présenté un premier EP en janvier 2017 baptisé A Home For All disponible en écoute intégrale sur BandCamp et sur Youtube où il est possible de (re)voir le clip du titre éponyme. On attend donc le premier recueil au format long du groupe lyonnais dans les semaines ou mois à venir pour se faire une idée du nouveau cru qu'il nous a concocté.
Rappelons que la formation qui évolue dans un style Métalcore et Post-Hardcore modernes a présenté un premier EP en janvier 2017 baptisé A Home For All disponible en écoute intégrale sur BandCamp et sur Youtube où il est possible de (re)voir le clip du titre éponyme. On attend donc le premier recueil au format long du groupe lyonnais dans les semaines ou mois à venir pour se faire une idée du nouveau cru qu'il nous a concocté.
You feel pain like no one else / Your mind's a black hole
Drags you into the dark / And damages your heart
I promise you, you’re not alone / Embrace this life again
I am your blood, your bones / Go away from your demons
You can’t see clearly anymore / Living your days under a dull sky
But don't forget you're not on your own
Remember you're not alone
You think you're all alone / Your smile can’t find a place
You walk with death, your only friend / But you're so blind
Can't see the end of this pain
Because of the voice inside your head
Hissing in your ear you’re gonna end up dead
That’s a lie ! That's a lie !!!!
I tried so hard to be strong / Strong enough for you and I
Enough to keep you alive
Far from your sadness / Far from your loneliness
Feel the pain like no one else
Dragged in this black hole too
‘cause I’m just like you
But I will never let you fall / I will never let you down
You’re not alone / You’ll never be alone
12/02/2018
[Vidéo] Whist : "School Is Over"
Au début des années 2000, Deftones nous pondait "Back To School" et retournait à l'école. En 2018, c'est l'inverse pour les lyonnais de Whist qui fêtent la fin de l'école avec entrain dans un clip pour "School Is Over".
Souvenez-vous, Whist avait teasé un nouvel EP dès juin 2017 avec "Growing Stronger" et ce nouveau recueil baptisé The Lines est désormais disponible en écoute intégrale sur BandCamp : huit titres où on retrouve donc "Growing Stronger", le tout évidemment enregistré, mixé et masterisé par Florent Salfati sous la bannière de Homeless Records.
Souvenez-vous, Whist avait teasé un nouvel EP dès juin 2017 avec "Growing Stronger" et ce nouveau recueil baptisé The Lines est désormais disponible en écoute intégrale sur BandCamp : huit titres où on retrouve donc "Growing Stronger", le tout évidemment enregistré, mixé et masterisé par Florent Salfati sous la bannière de Homeless Records.
11/02/2018
[Album] With Different Eyes : "Inevitable"
Artiste : With Different Eyes
Album : Inevitable
Premier Album
Sortie : 2016
Genre : Métalcore Progressif, Métal Moderne, Djent, Instrumental
Label : Autoproduction
Morceaux à écouter : Demons Of The Past, Reminiscence, The Distance
♥♥(♥)
> Ecouter l'album sur BandCamp <
De qui on parle, déjà ? Souvenez-vous, c'est en 2014 qu'on a découvert ce projet musical emmené par un polonais répondant au nom d'Artur Hary Jasiorski. Sous le nom de With Different Eyes, le guitariste - qui est aussi graphiste à ses heures perdues, passionné de science-fiction et qui aime composer de la musique assistée par ordinateur - avait proposé trois morceaux en téléchargement gratuit et compilés dans une démo sobrement baptisée Singles. On y découvrait un bonhomme dont les références Métalcore et Djent apparaissaient plutôt évidentes à travers des compositions pas trop mal foutues où des riffs lourds côtoyaient des lignes de guitare solo scintillantes et plus poétiques pour apporter une touche progressive. Le gaillard ayant sans doute trouvé que ces trois morceaux lui avaient suffi pour se chauffer, il a directement enchaîné sur ce premier album que voilà et qui est sorti deux ans plus tard.
Format long. Il aura donc fallu moins de deux ans à Artur Jasiorski pour pondre ce premier album où figurent naturellement les trois singles présentés dès 2014, leurs qualités respectives permettant d'embellir ce premier disque et surtout de les présenter sur un format physique. Le polonais a donc composé une petite dizaine de nouveaux morceaux pour présenter au mieux son univers musical et ses talents de musicien, le tout pour un total de presque trois quarts d'heure d'écoute : on a vu pire par les temps qui courent ! Reste à savoir si la qualité est au rendez-vous et si le pari d'Artur qui a été de proposer un disque intégralement instrumental arrive à tenir ses promesses pour nous faire voyager et adhérer à sa musique. Et c'est là que, malheureusement, ça pêche un peu. Certes, on sent une profonde volonté de développer diverses ambiances et de dresser différents tableaux mais il semblerait que le bonhomme ait un peu trop "le nez dans le guidon" pour prendre des risques et sortir des sentiers qu'il a lui-même battus pour son projet.
Redondance. Si on considère l'ouverture du disque sur "Origin" comme étant davantage une intro qu'un véritable morceau, c'est avec "Waves Of Eternity" qu'on rentre véritablement dans le vif du sujet. Des trois singles présentés bien avant, il reste ce son caractéristique d'une guitare à six cordes montée en gros calibre avec un accordage très bas pour lui donner cette lourdeur si particulière qu'on retrouve chez bon nombre de groupes de Djent ou Métalcore modernes. Malheureusement, tous les éléments de compositions se retrouvent aussi dans cet album, ce qui trahit un manque cruel d'évolution depuis 2014. Il faut aussi reconnaître que l'accordage en question et le nombre plutôt limité de cordes - mais aussi et surtout d'effets - ne permettent pas de produire une large palette sonore qui aurait pu embellir l'ensemble : là où des mecs comme Sullivan du groupe Russian Circles arrivent à jouer sur une six cordes à grands renforts d'effets et de pédale looper, Artur se cantonne à l'habituelle superposition d'une guitare lead et d'une guitare solo, même si on peut noter la présence d'une guitare supplémentaire pour les ambiances de fond sur certains passages qui sont sans aucun doute les plus intéressants de l'album. Du coup, malgré quelques riffs plutôt sympas et bien trouvés, il manque véritablement la possibilité de facilement différencier chacun des titres de cet album et c'est bien dommage. Tout cela amène à se poser l'inévitable question du "tout instrumental" : peut-être certaines compositions auraient gagné en force et en majesté si une collaboration avec un chanteur (ou une chanteuse) avait été envisagée. On a parfois l'impression d'écouter les versions intrumentales de morceaux composés justement pour le chant, comme si ce dernier manquait tout bonnement au produit fini. Ainsi, seules quelques petites trouvailles arrivent à sortir du lot et à donner le minimum de consistance à la musique instrumentale du polonais : le solo tout droit sorti d'un film d'horreur couplé à un univers de science-fiction sur la seconde moitié de "Yautja", le solo joué par Waldemar, invité sur "Design The Future" ou encore "Inevitable" qui boucle l'album avec une légèreté et un tempo qu'on aurait apprécié entendre davantage sur le reste de l'album. Pour conclure, ce premier recueil au format long n'est pas de mauvaise facture mais manque cruellement de relief et aurait sans aucun doute gagné en intérêt avec quelques collaborations vocales. Il n'en reste pas moins que musicalement parlant, il n'y a objectivement pas grand chose à jeter et on est bien au-dessus de la plupart des productions de Métalcore qu'on peut entendre un peu partout. C'est juste qu'on ne se repassera pas ce disque en boucle plusieurs dizaines de fois d'affilée.
Incomplet. Il y a véritablement des génies en ce qui concerne la musique instrumentale, qui plus est lorsqu'on parle de one man band (voir les premiers EPs de Plini lorsqu'il était encore seul aux manettes ou à la discographie de David Maxim Micic, entre autres). Malgré toutes les bonnes intentions et le talent certain dont Artur Hary Jasiorski fait preuve avec ce premier album, il faut bien admettre que ce dernier ne figurera pas dans le cercle très fermé des véritables perles du genre Métalcore ou Djent instrumental. Il manque véritablement quelque chose à la musique du polonais qui semble ne pas se suffire à elle-même à l'exception de quelques rares compositions (dont les trois premiers singles composés par le bonhomme). Force est de constater que le travail du polonais n'est peut-être pas suffisamment exceptionnel pour véhiculer autant de sensations et émotions que celui de certains autres musiciens internationaux de la même trempe mais qu'il arrive néanmoins à composer à lui-seul des morceaux de Métalcore bien meilleurs qu'un bon nombre de ceux composés par des groupes internationaux ! Et rien que pour ça, cet Inevitable mérite qu'on y jette une oreille !
Album : Inevitable
Premier Album
Sortie : 2016
Genre : Métalcore Progressif, Métal Moderne, Djent, Instrumental
Label : Autoproduction
Morceaux à écouter : Demons Of The Past, Reminiscence, The Distance
♥♥(♥)
> Ecouter l'album sur BandCamp <
De qui on parle, déjà ? Souvenez-vous, c'est en 2014 qu'on a découvert ce projet musical emmené par un polonais répondant au nom d'Artur Hary Jasiorski. Sous le nom de With Different Eyes, le guitariste - qui est aussi graphiste à ses heures perdues, passionné de science-fiction et qui aime composer de la musique assistée par ordinateur - avait proposé trois morceaux en téléchargement gratuit et compilés dans une démo sobrement baptisée Singles. On y découvrait un bonhomme dont les références Métalcore et Djent apparaissaient plutôt évidentes à travers des compositions pas trop mal foutues où des riffs lourds côtoyaient des lignes de guitare solo scintillantes et plus poétiques pour apporter une touche progressive. Le gaillard ayant sans doute trouvé que ces trois morceaux lui avaient suffi pour se chauffer, il a directement enchaîné sur ce premier album que voilà et qui est sorti deux ans plus tard.
Format long. Il aura donc fallu moins de deux ans à Artur Jasiorski pour pondre ce premier album où figurent naturellement les trois singles présentés dès 2014, leurs qualités respectives permettant d'embellir ce premier disque et surtout de les présenter sur un format physique. Le polonais a donc composé une petite dizaine de nouveaux morceaux pour présenter au mieux son univers musical et ses talents de musicien, le tout pour un total de presque trois quarts d'heure d'écoute : on a vu pire par les temps qui courent ! Reste à savoir si la qualité est au rendez-vous et si le pari d'Artur qui a été de proposer un disque intégralement instrumental arrive à tenir ses promesses pour nous faire voyager et adhérer à sa musique. Et c'est là que, malheureusement, ça pêche un peu. Certes, on sent une profonde volonté de développer diverses ambiances et de dresser différents tableaux mais il semblerait que le bonhomme ait un peu trop "le nez dans le guidon" pour prendre des risques et sortir des sentiers qu'il a lui-même battus pour son projet.
Redondance. Si on considère l'ouverture du disque sur "Origin" comme étant davantage une intro qu'un véritable morceau, c'est avec "Waves Of Eternity" qu'on rentre véritablement dans le vif du sujet. Des trois singles présentés bien avant, il reste ce son caractéristique d'une guitare à six cordes montée en gros calibre avec un accordage très bas pour lui donner cette lourdeur si particulière qu'on retrouve chez bon nombre de groupes de Djent ou Métalcore modernes. Malheureusement, tous les éléments de compositions se retrouvent aussi dans cet album, ce qui trahit un manque cruel d'évolution depuis 2014. Il faut aussi reconnaître que l'accordage en question et le nombre plutôt limité de cordes - mais aussi et surtout d'effets - ne permettent pas de produire une large palette sonore qui aurait pu embellir l'ensemble : là où des mecs comme Sullivan du groupe Russian Circles arrivent à jouer sur une six cordes à grands renforts d'effets et de pédale looper, Artur se cantonne à l'habituelle superposition d'une guitare lead et d'une guitare solo, même si on peut noter la présence d'une guitare supplémentaire pour les ambiances de fond sur certains passages qui sont sans aucun doute les plus intéressants de l'album. Du coup, malgré quelques riffs plutôt sympas et bien trouvés, il manque véritablement la possibilité de facilement différencier chacun des titres de cet album et c'est bien dommage. Tout cela amène à se poser l'inévitable question du "tout instrumental" : peut-être certaines compositions auraient gagné en force et en majesté si une collaboration avec un chanteur (ou une chanteuse) avait été envisagée. On a parfois l'impression d'écouter les versions intrumentales de morceaux composés justement pour le chant, comme si ce dernier manquait tout bonnement au produit fini. Ainsi, seules quelques petites trouvailles arrivent à sortir du lot et à donner le minimum de consistance à la musique instrumentale du polonais : le solo tout droit sorti d'un film d'horreur couplé à un univers de science-fiction sur la seconde moitié de "Yautja", le solo joué par Waldemar, invité sur "Design The Future" ou encore "Inevitable" qui boucle l'album avec une légèreté et un tempo qu'on aurait apprécié entendre davantage sur le reste de l'album. Pour conclure, ce premier recueil au format long n'est pas de mauvaise facture mais manque cruellement de relief et aurait sans aucun doute gagné en intérêt avec quelques collaborations vocales. Il n'en reste pas moins que musicalement parlant, il n'y a objectivement pas grand chose à jeter et on est bien au-dessus de la plupart des productions de Métalcore qu'on peut entendre un peu partout. C'est juste qu'on ne se repassera pas ce disque en boucle plusieurs dizaines de fois d'affilée.
Incomplet. Il y a véritablement des génies en ce qui concerne la musique instrumentale, qui plus est lorsqu'on parle de one man band (voir les premiers EPs de Plini lorsqu'il était encore seul aux manettes ou à la discographie de David Maxim Micic, entre autres). Malgré toutes les bonnes intentions et le talent certain dont Artur Hary Jasiorski fait preuve avec ce premier album, il faut bien admettre que ce dernier ne figurera pas dans le cercle très fermé des véritables perles du genre Métalcore ou Djent instrumental. Il manque véritablement quelque chose à la musique du polonais qui semble ne pas se suffire à elle-même à l'exception de quelques rares compositions (dont les trois premiers singles composés par le bonhomme). Force est de constater que le travail du polonais n'est peut-être pas suffisamment exceptionnel pour véhiculer autant de sensations et émotions que celui de certains autres musiciens internationaux de la même trempe mais qu'il arrive néanmoins à composer à lui-seul des morceaux de Métalcore bien meilleurs qu'un bon nombre de ceux composés par des groupes internationaux ! Et rien que pour ça, cet Inevitable mérite qu'on y jette une oreille !
08/02/2018
[Vidéo] Bear's Towers : "Aimless Wanderer"
Les haut-savoyards de Bear's Tower ont annoncé un nouvel album pour le printemps 2018 et ce nouvel opus qui répondra au nom de Kyma se dévoile avec ce premier extrait accompagné d'un clip.
"Aimless Wanderer" pourrait se résumer en une seule phrase : le hasard fait parfois bien les choses mais il faut peu de choses pour tout foutre en l'air. Avec de belles images racontant une histoire (plutôt dure) et quelques plans du groupe jouant sa musique, on retrouve la voix si particulière d'Aurélien pour un morceau aux accents Pop-Folk chers à la bande. Rappelons qu'en mai 2017, le groupe avait proposé un clip pour "Sun God" qui était extrait de l'album Never Alone paru en 2016 : il n'est pas trop tard pour aller y jeter un œil et une oreille.
"Aimless Wanderer" pourrait se résumer en une seule phrase : le hasard fait parfois bien les choses mais il faut peu de choses pour tout foutre en l'air. Avec de belles images racontant une histoire (plutôt dure) et quelques plans du groupe jouant sa musique, on retrouve la voix si particulière d'Aurélien pour un morceau aux accents Pop-Folk chers à la bande. Rappelons qu'en mai 2017, le groupe avait proposé un clip pour "Sun God" qui était extrait de l'album Never Alone paru en 2016 : il n'est pas trop tard pour aller y jeter un œil et une oreille.
07/02/2018
[Vidéo] AllttA : "Bucket" (20Syl remix)
Alltta revient sur son album sorti en 2017, The Upper Hand, avec une nouvelle vidéo bourrée de références, qu'il s'agisse de motion design, de scénettes à la Maurits Cornelis Escher ou encore du visuel de l'album lui-même.
Le duo composé par 20Syl, beatmaker français prolifique qu'on connaît notamment grâce à C2C ou Hocus Pocus, et Mr J. Medeiros, MC américain membre de The Procussions, a choisi de faire appel à la team ELMØ pour réaliser ce clip. Et si vous n'avez pas encore jeté un œil sur les vidéos de "Drugs" ou "That Good Ship", c'est encore temps. Pour les textes de "Bucket", c'est par ici.
Le duo composé par 20Syl, beatmaker français prolifique qu'on connaît notamment grâce à C2C ou Hocus Pocus, et Mr J. Medeiros, MC américain membre de The Procussions, a choisi de faire appel à la team ELMØ pour réaliser ce clip. Et si vous n'avez pas encore jeté un œil sur les vidéos de "Drugs" ou "That Good Ship", c'est encore temps. Pour les textes de "Bucket", c'est par ici.
06/02/2018
[Vidéo] Not Scientists : "Perfect World"
Pas sûr qu'ils aiment qu'on leur rappelle qu'ils ne sont plus tout jeunes mais les gaillards de Not Scientists ont pondu un clip pour accompagner un morceau au très fort goût de retro.
Les lyonnais sortiront leur prochain album Golden Staples le 13 avril 2018 chez Kidnap Music et Rookie Records et ont donc choisi ce "Perfect World" en guise de premier extrait. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que le résultat sonore est des plus surprenant, comme si The Cure et le Pop-Punk le plus élémentaire avaient donné naissance à un étrange hybride qui passe comme une lettre à la poste dans les oreilles. Notons aussi que le son de guitare peut aussi rappeler certaines compos de Bloc Party. Reste à savoir si tout le reste de l'album proposera cette recette : réponse bientôt.
Les lyonnais sortiront leur prochain album Golden Staples le 13 avril 2018 chez Kidnap Music et Rookie Records et ont donc choisi ce "Perfect World" en guise de premier extrait. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que le résultat sonore est des plus surprenant, comme si The Cure et le Pop-Punk le plus élémentaire avaient donné naissance à un étrange hybride qui passe comme une lettre à la poste dans les oreilles. Notons aussi que le son de guitare peut aussi rappeler certaines compos de Bloc Party. Reste à savoir si tout le reste de l'album proposera cette recette : réponse bientôt.
05/02/2018
[Vidéo] Muzak : "Manifesto"
La dernière fois qu'on a parlé de Muzak, le groupe suisse allait sortir son premier album Oxymoron et avait proposé un superbe clip pour le titre "How Could We Ever". C'était en 2015.
Cette année, ce groupe qui mélange Rock progressif et Métal alternatif présentera un nouvel album concept répondant à l'énigmatique et sobre nom de "I". Pour présenter l'univers de cet album qui paraîtra le 17 mars 2018, le groupe a publié un beau clip, étrange et poétique avec toujours des costumes à couper le souffle pour le titre "Manifesto".
Cette année, ce groupe qui mélange Rock progressif et Métal alternatif présentera un nouvel album concept répondant à l'énigmatique et sobre nom de "I". Pour présenter l'univers de cet album qui paraîtra le 17 mars 2018, le groupe a publié un beau clip, étrange et poétique avec toujours des costumes à couper le souffle pour le titre "Manifesto".
04/02/2018
[Vidéo] The Charm The Fury : "Songs Of Obscenity" (Paroles / Lyrics)
En 2017, les hollandais de The Charm The Fury ont sorti leur second album intitulé The Sick, Dumb & Happy et même si le groupe ne jouit pas encore d'une immense notoriété, il a pu jouer dans pas mal de festivals durant l'été de la même année. La bande a ramené un paquet d'images de ses prestations Live et a monté un clip pour l'un des titres les plus énergiques de ce nouveau disque.
Les images sont fraîches, de qualité et donnent la patate. Quant à savoir comment le groupe a pu défendre ce nouvel album sur scène, il semble que tout se soit plutôt bien passé quand on voit ces images. L'album The Sick, Dumb & Happy est à retrouver sur Youtube via Nuclear Blast.
Les images sont fraîches, de qualité et donnent la patate. Quant à savoir comment le groupe a pu défendre ce nouvel album sur scène, il semble que tout se soit plutôt bien passé quand on voit ces images. L'album The Sick, Dumb & Happy est à retrouver sur Youtube via Nuclear Blast.
We sell, you buy, We're out to make a dime.
Our business is fiction.
We'll rinse, repeat, It's easy don't you see ?
Our greed is relentless.
We wash our hands, In innocence, we bask,
We feed your addiction.
We wash our hands, The kids don't stand a chance.
A war of attrition.
Force fed mythology.
Force fed dishonesty.
Songs of obscenity
We don't wear brands,
Don't watch TV,
Oh, can you say "hypocrisy" ?
We're singing :
Whoa oh oh, whoa oh oh.
Straight to the bank, we run this scene.
We sell, you buy, We're out to make a dime.
Our business is fiction.
We'll rinse, repeat, It's easy don't you see ?
Our greed is relentless.
They sell a lie, Corrosive and malign,
It's all just an image.
So just you try, And look me in the eye.
Just say that shit to my goddamn face.
Fuck
So just you try, And look me in the eye.
Just say that shit to my goddamn face.
Songs of obscenity
.
Straight to the bank, we run this motherfucking scene.
Our business is fiction.
We'll rinse, repeat, It's easy don't you see ?
Our greed is relentless.
We wash our hands, In innocence, we bask,
We feed your addiction.
We wash our hands, The kids don't stand a chance.
A war of attrition.
Force fed mythology.
Force fed dishonesty.
Songs of obscenity
We don't wear brands,
Don't watch TV,
Oh, can you say "hypocrisy" ?
We're singing :
Whoa oh oh, whoa oh oh.
Straight to the bank, we run this scene.
We sell, you buy, We're out to make a dime.
Our business is fiction.
We'll rinse, repeat, It's easy don't you see ?
Our greed is relentless.
They sell a lie, Corrosive and malign,
It's all just an image.
So just you try, And look me in the eye.
Just say that shit to my goddamn face.
Fuck
So just you try, And look me in the eye.
Just say that shit to my goddamn face.
Songs of obscenity
.
Straight to the bank, we run this motherfucking scene.
03/02/2018
[Vidéo] Bottle Next : "The Running Herd"
Voilà un clip où on en prend plein la gueule ! Bottle Next, duo français originaire de la région lyonnaise pratiquant la Hard Folk, a sorti son premier album Bad Horses le 27 janvier 2018 et a balancé un superbe clip pour "The Running Herd", extrait de ce fameux disque.
Avec une réalisation digne du cinéma et un décor de folie reconstituant une tranchée de la Grande Guerre 14-18, on a droit à un clip qui marquera sans aucun doute la vidéo musicale. Servi par Arthur Fanget et produit par Le Cri Du Charbon, ce dernier profite de superbes costumes et d'un nombre impressionnant de figurants qui élève l'objet final au rang de reconstitution historique : on s'y croirait ! Un clip qui n'est pas sans rappeler la scène d'ouverture du film Au Revoir Là-Haut réalisé par Albert Dupontel et sorti quelques mois plus tôt.
L'album Bad Horses est à découvrir en écoute intégrale sur BandCamp.
Avec une réalisation digne du cinéma et un décor de folie reconstituant une tranchée de la Grande Guerre 14-18, on a droit à un clip qui marquera sans aucun doute la vidéo musicale. Servi par Arthur Fanget et produit par Le Cri Du Charbon, ce dernier profite de superbes costumes et d'un nombre impressionnant de figurants qui élève l'objet final au rang de reconstitution historique : on s'y croirait ! Un clip qui n'est pas sans rappeler la scène d'ouverture du film Au Revoir Là-Haut réalisé par Albert Dupontel et sorti quelques mois plus tôt.
L'album Bad Horses est à découvrir en écoute intégrale sur BandCamp.
You, who cares 'bout your holiday / You do not make connections
You think of tomorrow's weather / You are selfish, day after day
While the storm rages and the earth awakens
You think only to make hay
While the storm rages and the earth revolts
You think only day by day
When the fire burns it all / When the water floods it all
When the storm blows away everything / When the fire burns it all
When the weather swamps it all
When the storm blows away everything
The earth will recover it’s rights
We will be that herd running through the woods / Haunted by our mistakes
The planet’s gonna kill every one of us
The only thing that I don't know is how long a time it's gonna take
While the storm rages and the earth awakens / You think only to make hay
While the storm rages and the earth revolts / You think only day by day
If the world dies
What are we gonna leave behind ?
If the soul of Gaya cries
No one will remember us
You think of tomorrow's weather / You are selfish, day after day
While the storm rages and the earth awakens
You think only to make hay
While the storm rages and the earth revolts
You think only day by day
When the fire burns it all / When the water floods it all
When the storm blows away everything / When the fire burns it all
When the weather swamps it all
When the storm blows away everything
The earth will recover it’s rights
We will be that herd running through the woods / Haunted by our mistakes
The planet’s gonna kill every one of us
The only thing that I don't know is how long a time it's gonna take
While the storm rages and the earth awakens / You think only to make hay
While the storm rages and the earth revolts / You think only day by day
If the world dies
What are we gonna leave behind ?
If the soul of Gaya cries
No one will remember us
01/02/2018
[Vidéo] The One Hundred : "Chaos & Bliss" (Paroles / Lyrics)
The One Hundred fait partie de cette riche scène anglaise qui mixe les genres et arrive à en tirer une forte identité sonore, souvent avec réussite.
En ayant sorti son premier album Chaos & Bliss en 2017 chez Spinefarm Records, le groupe a pu participer à quelques grands festivals et ainsi mieux se faire connaître. Mais avec un mélange de Rap, de Métal et d'Electro, le combo emmené par Jacob Field est encore loin d'être sur le devant de la scène et de faire l'unanimité. Qu'à cela ne tienne, le groupe continue son petit bonhomme de chemin et après avoir proposé des vidéos pour "Dark Matters" et "Monster", il vient de publier un clip - très étrange - pour le morceau qui donne son nom à l'album. Une sorte d'allégorie du "chaos" moderne avec un clin d’œil à "Monster", l'un des masques utilisés pour le clip étant posé au sol.
En ayant sorti son premier album Chaos & Bliss en 2017 chez Spinefarm Records, le groupe a pu participer à quelques grands festivals et ainsi mieux se faire connaître. Mais avec un mélange de Rap, de Métal et d'Electro, le combo emmené par Jacob Field est encore loin d'être sur le devant de la scène et de faire l'unanimité. Qu'à cela ne tienne, le groupe continue son petit bonhomme de chemin et après avoir proposé des vidéos pour "Dark Matters" et "Monster", il vient de publier un clip - très étrange - pour le morceau qui donne son nom à l'album. Une sorte d'allégorie du "chaos" moderne avec un clin d’œil à "Monster", l'un des masques utilisés pour le clip étant posé au sol.
I can never think unless I have a little doubt
My mind fills up with thoughts you know it kept the demons out
I'm saying words that make me think that I'm making things clearer
I hope you don't see the things that I see in the mirror
I see chaos and bliss, 'cause both of them exist (x4)
I see War, Rage, Help, Faith
I don't wanna attack it's just the way that I act I can't help it
I wish I could change actually fuck it, I wish I could fly
Asking me shit like why / But I don't know it's just my thoughts
Of being alone not knowing if this weed will clear up
It's now or never, but I can't help but know it
It's like I live to deal with it / I'm thinking of words to rhyme
My head fills with words at times
But now I'm confused
Trying to grasp or choose / Like I got things to prove
Do I get over wordy / Like I'm a nerd
Do I get shirty / Well now I'm hitting qwerty
I've said enough
I apologise for saying too much at times
But I just need words to rhyme with it
Go
I can never think unless I have a little doubt
My mind fills up with thoughts you know it kept the demons out
I'm saying words that make me think that I'm making things clearer
I hope you don't see the things that I see in the mirror
I see war
Don't let it tear you apart (x2)
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