Afin de mettre des images sur un morceau qui nous parle de mensonges, de déceptions et des tricheurs qui en sont la cause, les mecs de Chinese Man et l'équipe de HVH Films ont décidé de pondre un clip mettant en relief toute l'importance de prendre une information dans sa globalité, avec du recul et des points de vue différents. Une superbe mise en scène basée sur de très gros plans (ou "inserts") qui nous laissent penser que différents drames se déroulent sous nos yeux. La conclusion laisse éclater une vérité pourtant bien différente... Voilà une vidéo au caractère presque métaphorique et très bien menée !
30/11/2016
[Vidéo] Chinese Man : "Liar" feat. Kendra Morris & Dillon Cooper
Le collectif Chinese Man annonce un nouvel album qui répondra au nom de Shikantaza dont ce "Liar" en featuring avec Kendra Morris et Dillon Cooper est extrait.
Afin de mettre des images sur un morceau qui nous parle de mensonges, de déceptions et des tricheurs qui en sont la cause, les mecs de Chinese Man et l'équipe de HVH Films ont décidé de pondre un clip mettant en relief toute l'importance de prendre une information dans sa globalité, avec du recul et des points de vue différents. Une superbe mise en scène basée sur de très gros plans (ou "inserts") qui nous laissent penser que différents drames se déroulent sous nos yeux. La conclusion laisse éclater une vérité pourtant bien différente... Voilà une vidéo au caractère presque métaphorique et très bien menée !
Afin de mettre des images sur un morceau qui nous parle de mensonges, de déceptions et des tricheurs qui en sont la cause, les mecs de Chinese Man et l'équipe de HVH Films ont décidé de pondre un clip mettant en relief toute l'importance de prendre une information dans sa globalité, avec du recul et des points de vue différents. Une superbe mise en scène basée sur de très gros plans (ou "inserts") qui nous laissent penser que différents drames se déroulent sous nos yeux. La conclusion laisse éclater une vérité pourtant bien différente... Voilà une vidéo au caractère presque métaphorique et très bien menée !
24/11/2016
[Vidéo] Ok Go : "The One Moment" (Paroles / Lyrics)
C'est huit mois après la vidéo complètement folle pour "Upside Down & Inside Out" que le groupe OK Go balance une vidéo pour le titre "The One Moment" extrait du même album Hungry Ghosts sorti le 14 octobre 2014 (il y a deux ans déjà !).
Ce clip - qui a été tourné en 4,2 secondes - est une nouvelle expérimentation artistique que le quatuor a ensuite passé en slow motion pour coller avec le morceau. Au menu, des explosions, de la couleur, et toujours autant de créativité. Rappelons que ce concept avait aussi été employé par Siska pour le clip de "Unconditional Rebel".
Ce clip - qui a été tourné en 4,2 secondes - est une nouvelle expérimentation artistique que le quatuor a ensuite passé en slow motion pour coller avec le morceau. Au menu, des explosions, de la couleur, et toujours autant de créativité. Rappelons que ce concept avait aussi été employé par Siska pour le clip de "Unconditional Rebel".
You're right
There is nothing more lovely / There's nothing more profound
Than the certainty / Than the certainty
That all of this will end / That all of this will end
So open your arms to me / Open your arms to me
And this will be
The one moment that matters
And this will be
The one thing we remember
And this will be
The reason to have been here
And this will be
The one moment that matters at all
So while the mud / Reclaims our footprints
And while our bones keep looking back
At the overgrowth that's swallowing the path
There for the grace of god go we
There for the grace of god go we
There for the grace of time and chance
and entropy's cruel hands
So open your arms to me
Open your arms to me
[Refrain]
So won't you stay here with me
And build till we've blistered our hands?
So won't you stay here with me
And build us some temples / Build us some castles
Build us some monuments / And burn them all right down
So open your arms to me
Open your arms to me
[Refrain]
(Overlapping)
So won't you stay here with me
And build till we've blistered our hands?
(Overlapping)
This will be the one thing we remember
There is nothing more lovely / There's nothing more profound
Than the certainty / Than the certainty
That all of this will end / That all of this will end
So open your arms to me / Open your arms to me
And this will be
The one moment that matters
And this will be
The one thing we remember
And this will be
The reason to have been here
And this will be
The one moment that matters at all
So while the mud / Reclaims our footprints
And while our bones keep looking back
At the overgrowth that's swallowing the path
There for the grace of god go we
There for the grace of god go we
There for the grace of time and chance
and entropy's cruel hands
So open your arms to me
Open your arms to me
[Refrain]
So won't you stay here with me
And build till we've blistered our hands?
So won't you stay here with me
And build us some temples / Build us some castles
Build us some monuments / And burn them all right down
So open your arms to me
Open your arms to me
[Refrain]
(Overlapping)
So won't you stay here with me
And build till we've blistered our hands?
(Overlapping)
This will be the one thing we remember
(Overlapping)
So won't you stay here with me
And build us some temples / Build us some castles
Build us some monuments / Build us some temples
Build us some castles / Build us some monuments
This will be, This will be
The one moment that matters
And this will be
The one moment that matters at all
So won't you stay here with me
And build us some temples / Build us some castles
Build us some monuments / Build us some temples
Build us some castles / Build us some monuments
This will be, This will be
The one moment that matters
And this will be
The one moment that matters at all
23/11/2016
[Vidéo] Smokey Joe & The Kid : "Running To The Moon"
Un peu plus d'un mois seulement après la sortie du clip animé pour "So Sexy" avec Blake Worrell, les deux beatmakers de Smokey Joe & The Kid proposent cette fois une vidéo pour mettre des images sur le titre qui donne son nom à l'album paru plus tôt en 2016.
"Running To The Moon" est un titre instrumental qui rappelle évidemment les premières heures de Chinese Man et qui passe sans aucun souci. Pour le clip, on doit le mélange de prise de vue réelle et d'animation 3D à Victor Jardel dont le petit personnage extra-terrestre se tape un road-trip à travers la France, d'une plage ensoleillée aux rues de la capitale... Sympa !
"Running To The Moon" est un titre instrumental qui rappelle évidemment les premières heures de Chinese Man et qui passe sans aucun souci. Pour le clip, on doit le mélange de prise de vue réelle et d'animation 3D à Victor Jardel dont le petit personnage extra-terrestre se tape un road-trip à travers la France, d'une plage ensoleillée aux rues de la capitale... Sympa !
21/11/2016
[Vidéo] While She Sleeps : "Hurricane" (Paroles / Lyrics)
Le groupe de Métalcore britannique While She Sleeps l'avait annoncé dès septembre 2016 avec la sortie d'une vidéo pour le titre "Civil Isolation" : après avoir subi les hauts et les bas de l'industrie musicale, le nouvel album serait entièrement produit de façon indépendante et financé par la communauté de fans via une campagne de crowdfunding sur Pledge Music. Ce troisième effort répondra au nom de You Are We et devrait sortir au printemps 2017.
La liste de "récompenses" accordées à ceux qui désiraient financer le projet proposait de participer au tournage d'un clip dans le nouveau hangar aménagé par le groupe pour ses répétitions et enregistrements. Le résultat ? La vidéo que voici pour "Hurricane" : un Métalcore mélodique toujours aussi efficace et nerveux où chacun des membres donne de la voix. Solide !
All my thoughts are useless,
They keep me from seeing the bright light.
Falling down this well now,
I’m reaching but it’s too high.
Is this the end, the fall of man?
Did we take nothing from the meaning of change for the masses?
We’re never gonna learn.
If all we do is take, take, no return.
Blame it on the outside, close the curtains.
Dare me to explain why we don’t deserve
The land that we fill and the blood that they spilt
Not a selfish intention; an order to kill.
Kill, kill, kill, ourselves with the question, destroy or rebuild?
Singing S, O, S, to ourselves.
[Choeurs]
IT’LL TAKE A HURRICANE, TO CLEAN UP ALL THE MESS WE MADE.
IF WE’RE GONNA FLY THIS FLAG OF PEACE, WE’LL NEED YOU.
WE NEED TO DIG THIS UP FROM THE ROOTS
AND IF A GOD’S LOOKING DOWN WE’LL GIVE THEM SOMETHING TO LOSE.
We’ll give them something to lose.
Assailants; second nature hypocrites.
Tell me that it’s not as bad as it may seem.
Surviving this death trap by the skin of our teeth,
Oxygen thieves. Are we just Oxygen thieves?
This is survival of the sickest.
We’re the casualties that keep living
The same shit over and over again
The end is coming
The end is coming
IT’LL TAKE A HURRICANE, TO CLEAN UP ALL THE MESS WE MADE.
IF WE’RE GONNA FLY THIS FLAG OF PEACE, WE’LL NEED YOU.
WE NEED TO DIG THIS UP FROM THE ROOTS
AND IF A GOD’S LOOKING DOWN WE’LL GIVE THEM SOMETHING TO LOSE.
[Choeurs]
La liste de "récompenses" accordées à ceux qui désiraient financer le projet proposait de participer au tournage d'un clip dans le nouveau hangar aménagé par le groupe pour ses répétitions et enregistrements. Le résultat ? La vidéo que voici pour "Hurricane" : un Métalcore mélodique toujours aussi efficace et nerveux où chacun des membres donne de la voix. Solide !
All my thoughts are useless,
They keep me from seeing the bright light.
Falling down this well now,
I’m reaching but it’s too high.
Is this the end, the fall of man?
Did we take nothing from the meaning of change for the masses?
We’re never gonna learn.
If all we do is take, take, no return.
Blame it on the outside, close the curtains.
Dare me to explain why we don’t deserve
The land that we fill and the blood that they spilt
Not a selfish intention; an order to kill.
Kill, kill, kill, ourselves with the question, destroy or rebuild?
Singing S, O, S, to ourselves.
[Choeurs]
IT’LL TAKE A HURRICANE, TO CLEAN UP ALL THE MESS WE MADE.
IF WE’RE GONNA FLY THIS FLAG OF PEACE, WE’LL NEED YOU.
WE NEED TO DIG THIS UP FROM THE ROOTS
AND IF A GOD’S LOOKING DOWN WE’LL GIVE THEM SOMETHING TO LOSE.
We’ll give them something to lose.
Assailants; second nature hypocrites.
Tell me that it’s not as bad as it may seem.
Surviving this death trap by the skin of our teeth,
Oxygen thieves. Are we just Oxygen thieves?
This is survival of the sickest.
We’re the casualties that keep living
The same shit over and over again
The end is coming
The end is coming
IT’LL TAKE A HURRICANE, TO CLEAN UP ALL THE MESS WE MADE.
IF WE’RE GONNA FLY THIS FLAG OF PEACE, WE’LL NEED YOU.
WE NEED TO DIG THIS UP FROM THE ROOTS
AND IF A GOD’S LOOKING DOWN WE’LL GIVE THEM SOMETHING TO LOSE.
[Choeurs]
20/11/2016
[Vidéo] De Laurentis : "Brand New Soul" (Paroles / Lyrics)
De Laurentis et son univers clair-obscur sont de retour dans une vidéo pour le titre "Brand New Soul" qui donne son nom à l'EP paru en début d'année 2016.
Que ce soit dans sa musique ou son identité visuelle, Cécile De Laurentis joue avec le noir et le blanc. Pourtant, la couleur fait son apparition dans ce clip où le corps de la danseuse Davina Villeneuve est taché de peintures phosphorescentes. Un clip sobre, poétique, mais qui illustre bien la musique de De Laurentis et plus particulièrement ce morceau qui libère une certaine énergie électronique...
Cold it was the night when you came
Down from the sky with open eyes
Two pearls, big eyes, two arms, fragile
Too young, human, new born...
Welcome to a brand new soul...
You win, you lose, you know, you fall, you live, you love
You ask ...again
You grow up, you understand, you give it up, you fell the pain,
The more you learn, the less you know,
A page you turn... again
Welcome to a brand new soul
Welcome to a brand new soul
Welcome to a brand new soul
Welcome to a brand new soul
Que ce soit dans sa musique ou son identité visuelle, Cécile De Laurentis joue avec le noir et le blanc. Pourtant, la couleur fait son apparition dans ce clip où le corps de la danseuse Davina Villeneuve est taché de peintures phosphorescentes. Un clip sobre, poétique, mais qui illustre bien la musique de De Laurentis et plus particulièrement ce morceau qui libère une certaine énergie électronique...
Cold it was the night when you came
Down from the sky with open eyes
Two pearls, big eyes, two arms, fragile
Too young, human, new born...
Welcome to a brand new soul...
You win, you lose, you know, you fall, you live, you love
You ask ...again
You grow up, you understand, you give it up, you fell the pain,
The more you learn, the less you know,
A page you turn... again
Welcome to a brand new soul
Welcome to a brand new soul
Welcome to a brand new soul
Welcome to a brand new soul
17/11/2016
[Vidéo] The Algorithm : "Overclock"
Si le cerveau de Rémi Gallego devait être amené à subir un IRM pendant qu'il produit/compose un morceau, voici probablement ce que l'écran afficherait comme résultat : un truc psychédélique, compliqué, tel un kaléidoscope où figureraient des fractales ou autres images intersidérales.
Plus sérieusement, cette vidéo composée à partir d'images de tous genres et d'extraits de présentations de matériel informatique d'un autre âge sert en fait à présenter un nouveau morceau du projet The Algorithm qui figurera sur le premier DLC de l'album Brute Force paru plus tôt en 2016 chez FiXT Music. Rémi parle de la sortie de cet EP de quatre titres comme d'une extension de l'album, ce dernier ne pouvant pas contenir tout ce qui avait été produit pendant sa création afin de conserver une atmosphère homogène. "Overclock" est un titre nerveux, au tempo rapide et à la touche Techno/Hard Tek prononcée, ce qui en fait un morceau véritablement à part (pour les non-initiés, voir le sens du terme "overclocking").
En un mot : #oui !
Plus sérieusement, cette vidéo composée à partir d'images de tous genres et d'extraits de présentations de matériel informatique d'un autre âge sert en fait à présenter un nouveau morceau du projet The Algorithm qui figurera sur le premier DLC de l'album Brute Force paru plus tôt en 2016 chez FiXT Music. Rémi parle de la sortie de cet EP de quatre titres comme d'une extension de l'album, ce dernier ne pouvant pas contenir tout ce qui avait été produit pendant sa création afin de conserver une atmosphère homogène. "Overclock" est un titre nerveux, au tempo rapide et à la touche Techno/Hard Tek prononcée, ce qui en fait un morceau véritablement à part (pour les non-initiés, voir le sens du terme "overclocking").
En un mot : #oui !
16/11/2016
[Vidéo] Stupid Karate : "Smells Like Piss Spirit" (Paroles / Lyrics)
Les gosses, beaucoup de gens vous dirons qu'ils sont chiants, qu'ils crient, qu'ils chialent et même que parfois, ils font dans leur froc et que ça pue. Bref, certains n'aiment pas les enfants et ce n'est pas ce titre de Stupid Karate qui leur fera dire le contraire...
Une paire de semaines seulement après une vidéo pour "Série Noire" montée à base d'images de nanars gores et de karaté, les lillois proposent cette fois une ode à la jeunesse haute comme trois pommes avec un clip monté à base d'images de films où les enfants ont tout simplement des rôles détestables... le tout chanté avec ferveur par Alf. Sans oublier un petit clin d’œil évident à Nirvana et son "Smells Like Teen Spirit" datant de 1991. Tout comme "Série Noire", "Smells Like Piss Spirit" est extrait du premier EP de Stupid Karate et est disponible via BandCamp et en écoute intégrale sur Youtube.
I hate kids cause they smell bad
Seeing their pretty faces drives me mad
Crying, shouting very loudly
Their stupid voices make me crazy
I hate kids
Don't ask me why
They're so goddamn fucking useless
Their narrow mind is a bloody mess
Their pathetic lives don't mean a thing
Sitting close to them is terrifying
I dream about a killing spree
Crushing their skulls with my knee
With my knee
Une paire de semaines seulement après une vidéo pour "Série Noire" montée à base d'images de nanars gores et de karaté, les lillois proposent cette fois une ode à la jeunesse haute comme trois pommes avec un clip monté à base d'images de films où les enfants ont tout simplement des rôles détestables... le tout chanté avec ferveur par Alf. Sans oublier un petit clin d’œil évident à Nirvana et son "Smells Like Teen Spirit" datant de 1991. Tout comme "Série Noire", "Smells Like Piss Spirit" est extrait du premier EP de Stupid Karate et est disponible via BandCamp et en écoute intégrale sur Youtube.
I hate kids cause they smell bad
Seeing their pretty faces drives me mad
Crying, shouting very loudly
Their stupid voices make me crazy
I hate kids
Don't ask me why
They're so goddamn fucking useless
Their narrow mind is a bloody mess
Their pathetic lives don't mean a thing
Sitting close to them is terrifying
I dream about a killing spree
Crushing their skulls with my knee
With my knee
14/11/2016
[Vidéo] Twelve Foot Ninja : "Sick" (Paroles / Lyrics)
Les australiens les plus déjantés de la scène Métal mondiale ont eu la bonne idée de proposer un clip pour le titre "Sick" extrait de l'album Outlier sorti plus tôt dans l'année.
Comme à son habitude, la formation originaire de Melbourne se met en scène dans une vidéo aussi tordue que drôle où l'autodérision est une fois de plus mise à l'honneur. Sortie quelques jours après Halloween, elle semble vouloir rappeler qu'il n'y a rien de mieux que de mater un petit film d'horreur entre potes. C'est exactement ce que ce clip de neuf minutes illustre en faisant des clins d’œils à quelques films cultes du genre. Une nouvelle vidéo carrément réussie et signée Twelve Foot Ninja, presque un an après celle pour "One Hand Killing".
Are you sick of being tired?
Are you tired of being sick?
How did I get to where it pours,
Never rains, Highway-lost,
Out of range, My time,
A memory.
As you grip for the future,
It slips out of your hands,
The bitter-sweet truth,
You know too well,
You’ve got to take it
You’ve got to face it where you stand.
Get out of your own damn way,
You must be out of your mind.
Don’t ask if refusal offends.
I can get a handle on it.
Time is a memory, Time is ticking,
Time is a memory, Time is illusion.
Comme à son habitude, la formation originaire de Melbourne se met en scène dans une vidéo aussi tordue que drôle où l'autodérision est une fois de plus mise à l'honneur. Sortie quelques jours après Halloween, elle semble vouloir rappeler qu'il n'y a rien de mieux que de mater un petit film d'horreur entre potes. C'est exactement ce que ce clip de neuf minutes illustre en faisant des clins d’œils à quelques films cultes du genre. Une nouvelle vidéo carrément réussie et signée Twelve Foot Ninja, presque un an après celle pour "One Hand Killing".
Are you sick of being tired?
Are you tired of being sick?
How did I get to where it pours,
Never rains, Highway-lost,
Out of range, My time,
A memory.
As you grip for the future,
It slips out of your hands,
The bitter-sweet truth,
You know too well,
You’ve got to take it
You’ve got to face it where you stand.
Get out of your own damn way,
You must be out of your mind.
Don’t ask if refusal offends.
I can get a handle on it.
Time is a memory, Time is ticking,
Time is a memory, Time is illusion.
12/11/2016
[Live Report] Pethrol (Release Party) + Klê (Le Transbordeur - Lyon)
Soirée très spéciale en ce mercredi 26 octobre 2016 puisque le Transbordeur de Lyon/Villeurbanne proposait une release party gratuite à l'occasion de la sortie du premier album du duo Pethrol : Figures, paru le 21 octobre 2016 sur le label La Ruche. Une soirée d'autant plus particulière que les artistes présents sur scène ce soir-là sont des amis proches...
On a tous dans notre entourage des gens qui réussissent dans leurs domaines respectifs. Des gens plus ou moins talentueux qui, pour certains, font du sport, dessinent, peignent ou, dans d'autres cas, jouent d'un instrument et chantent. Bref, certains font de la musique et il arrive qu'ils le fassent très bien. Qu'il s'agisse de Klê ou de Pethrol présents sur scène ce soir-là, en ce qui me concerne, c'est toujours avec un sentiment étrange partagé entre la fierté et l'admiration que j'assiste à une représentation Live de ces personnes qui me sont chères et qui ont désormais débuté une réelle carrière musicale.
Klê - aka Maxime, ou Max pour les intimes - est ce qu'on appelle dans le jargon un one-man band : seul sur scène, il joue l'homme-orchestre en jonglant entre claviers, machines, pédales, guitare et chant. Si, dans ce projet, le travail à fournir s'étale de l'écriture et la composition jusqu'au mixage et au mastering final (Klê fait tout tout seul et peut compter sur sa formation d'ingénieur du son), c'est surtout sur scène qu'est le vrai challenge puisque l'orchestration s'avère être un savoir-faire qui n'est pas donné à tout le monde. Chanter et jouer d'un instrument en même temps n'est déjà pas une chose aisée, mais lorsqu'il faut en plus alterner entre clavier et guitare, pianoter des synthés, tripoter des potars et taper du pied sur un nombre incalculable de pédales à effets, la prestation impose tout simplement le respect, qu'on soit sensible ou non au style de musique joué.
Musicalement, Klê casse les frontières entre Rock, Post-Rock, Pop et Electro. Ce n'est pas que les styles sont mélangés. Disons plutôt qu'ils cohabitent. Le cocktail est parfois surprenant mais reste relativement passe-partout dans l'ensemble. Et tandis que les amoureux de l'Electro préféreront les beats marqués et les synthés électriques (et électrisant), ceux qui sont davantage branchés Rock pourront se délecter de riffs et solos de guitare où toute l'influence des années 70 (coucou les Floyd ou encore les Doors) se retrouve dès les premières notes.
Klê qui joue son set, cela fait déjà un petit nombre de fois que j'ai assisté au spectacle. Toutefois, c'est la première fois dans de telles conditions : la salle du Club Transbo est évidemment beaucoup plus imposante que le moindre salon ou la quelconque cave de bistrot où Klê a plutôt l'habitude de se produire. Le son est lui aussi bien plus imposant et tandis que certains trouvent à redire sur la qualité des balances, c'est avant tout la puissance disponible qui fera toute la différence ce soir-là. Un détail qui donne à ce set une toute autre dimension que tous ceux auxquels j'avais pu assister auparavant : tout est plus gros, plus grand, plus fort.
Mindtruder, premier album de Klê, est en écoute intégrale sur SoundCloud :
Depuis 2014, Klê présente son mini-album Mindtruder sur scène et a su ajouter ça et là des petites choses qui font qu'aujourd'hui, le résultat est clairement plus abouti qu'à ses débuts. Une vraie bonne nouvelle pour le public présent ce soir-là au Transbordeur et qui le découvrait en tant que guest invité par Pethrol pour ouvrir la soirée. Mindtruder est un recueil dont le concept repose sur le combat que mène le personnage principal contre un virus appelé "Master-K Traum", ce dernier prenant peu à peu possession de son hôte. Avec le temps, Klê a su tirer profit de ce concept pour véritablement donner vie à son personnage sur scène : comme s'il souffrait de schizophrénie, il exprime un degré différent de folie sur chaque pièce, cette folie explosant carrément sur "Fool Of Emptiness" où il quitte son poste pour s'adresser directement au public sur le devant de la scène. Pour moi qui connais le bonhomme depuis ses cinq ou six ans (ça fait vingt piges, tout de même !) et qui n'avais encore jamais vu cette mise en scène pour ce morceau, la surprise est totale ! Et malgré quelques petits soucis techniques, le set de ce cette soirée a incontestablement eu de l'impact, tant visuellement que sur le plan sonore. Des conditions rêvées pour quelqu'un qui a sans aucun doute énormément de choses à offrir encore. Loin de moi l'idée de lécher les bottes d'un pote musicien mais la prestation était à mon sens réussie.
Sont ensuite arrivés ceux que tout le monde attendait : les deux compères de Pethrol, Héloïse et Cédric, pour nous présenter pour la première fois sur scène leur tout premier album. Cela fait maintenant plus de trois ans que le projet est sur pieds et plusieurs EPs ont vu le jour : d'abord Black Gold en 2013, puis Golden Mean et Goldmund en 2014. L'année 2016 marque donc un tournant et surtout un nouveau départ pour le duo qui parle de Figures comme d'une toute nouvelle ère pour Pethrol. Et c'est évidemment à l'oreille que la différence se fait sentir.
C'est avec un immense sourire qu'Héloïse et Cédric se présentent sur scène et rien que de voir cette joie d'être face au public donne une dimension toute particulière à la soirée. Une joie communicative qui ne s'essoufflera pas pendant toute la durée du set, la complicité entre les deux artistes s'exprimant largement au travers de regards et autres interactions qui laissent transparaître une cohésion totale entre leurs talents respectifs : Cédric derrière ses fûts et Héloïse derrière son micro, ses claviers et autres pads. C'est d'ailleurs un fait marquant de la nouvelle direction sonore prise sur cet album : les parties de synthés et autres sonorités électroniques ont changé de ton, d'identité, et sont beaucoup plus souvent jouées en Live et ça, c'est un véritable bonus pour la prestation. En comparaison, le concert donné lors de la Fête de la Musique 2016 sur la place de la Croix Rousse (toujours à Lyon) semblait beaucoup moins vivant car se reposant bien trop souvent sur des samples et autres enregistrements. Il y a désormais un véritable show qui s'exécute sur scène, Héloïse alternant entre un chant habité et animé par un jeu de scène qui se veut de plus en plus assumé et contrôlé, et des passages instrumentaux où elle pianote ses synthés ou frappe ses pads à l'aide de baguettes.
Comme prévu, l'album est joué dans son intégralité, porté par la voix d'Héloïse qui parfois murmure, passe comme un souffle, ou au contraire s'élève vers des sphères emmenant l'ensemble dans un univers lunaire qu'on connaît bien chez Pethrol. Le public se dandine, danse même parfois. Car certains morceaux de cet album s'avèrent être capables de faire remuer l'auditeur, Cédric apportant une rythmique soutenue et un groove qui vaut vraiment la peine d'être vu et entendu en concert. Le batteur est d'ailleurs d'une précision remarquable et s'accorde quelques excentricités et solos bienvenus pour enrichir le tout. Mais c'est avec finalement peu d'instruments que Pethrol arrive à produire une Pop paradoxalement sombre et lumineuse qui s'entiche de beaucoup d'autres éléments musicaux : l'Electro côtoie la Pop sous des influences Rock voire même Post-Rock et Jazz. Ce n'est certes pas très marqué mais il y a dans ce projet des possibilités énormes qui ne sont pas exploitées (pour le moment ?), sans doute pour des raisons assumées et qui font toute l'identité et l'univers de la musique du duo.
Pour conclure la prestation, Héloïse invitera sur scène deux percussionnistes (...) ainsi qu'Albert Conan, ami proche et parolier de l'album pour "Le Dernier Grand Voyage", seul morceau en français de l'album et chanté en duo avec le compère. Pour ce titre, la scène s'enrichit donc de trois personnes supplémentaires et les conditions particulières de cette soirée ont permis de proposer un véritable spectacle qu'on ne risque pas de voir à chaque représentation de Pethrol, ce qui faisait aussi tout l'intérêt de cette release party. En guise de rappel, Héloïse et Cédric se proposent de prolonger la soirée en jouant tous les morceaux qui ont permis au groupe de se faire connaître dont "Chess", "Autumn's Cry" ou encore "Ouroboros".
Une bien belle soirée, donc, pour un instant musical de qualité, entre amis (en tout cas en ce qui me concerne), et où le nouveau visage de Pethrol s'est dévoilé d'une jolie façon. Klê, Cédric et Héloïse ont ensuite enchaîné une séance de dédicace et de dialogue avec les personnes du public qui le souhaitaient et tout le monde est rentré chez soi dans la bonne humeur. Pour faire court, c'était très bien.
Pour suivre les artistes, retrouvez Klê sur Facebook, Pethrol sur Facebook et si ce n'est pas déjà fait, allez jeter un oeil sur la page Youtube de Pethrol pour visionner les nombreux clips que le duo a déjà produit (et ceux à venir !).
On a tous dans notre entourage des gens qui réussissent dans leurs domaines respectifs. Des gens plus ou moins talentueux qui, pour certains, font du sport, dessinent, peignent ou, dans d'autres cas, jouent d'un instrument et chantent. Bref, certains font de la musique et il arrive qu'ils le fassent très bien. Qu'il s'agisse de Klê ou de Pethrol présents sur scène ce soir-là, en ce qui me concerne, c'est toujours avec un sentiment étrange partagé entre la fierté et l'admiration que j'assiste à une représentation Live de ces personnes qui me sont chères et qui ont désormais débuté une réelle carrière musicale.
Figures, premier album de Pethrol (2016) et Mindtruder, premier mini-album de Klê (2014) |
Klê - aka Maxime, ou Max pour les intimes - est ce qu'on appelle dans le jargon un one-man band : seul sur scène, il joue l'homme-orchestre en jonglant entre claviers, machines, pédales, guitare et chant. Si, dans ce projet, le travail à fournir s'étale de l'écriture et la composition jusqu'au mixage et au mastering final (Klê fait tout tout seul et peut compter sur sa formation d'ingénieur du son), c'est surtout sur scène qu'est le vrai challenge puisque l'orchestration s'avère être un savoir-faire qui n'est pas donné à tout le monde. Chanter et jouer d'un instrument en même temps n'est déjà pas une chose aisée, mais lorsqu'il faut en plus alterner entre clavier et guitare, pianoter des synthés, tripoter des potars et taper du pied sur un nombre incalculable de pédales à effets, la prestation impose tout simplement le respect, qu'on soit sensible ou non au style de musique joué.
Klê et son matos sur la scène du Transbo avant le concert © H.N. |
Klê qui joue son set, cela fait déjà un petit nombre de fois que j'ai assisté au spectacle. Toutefois, c'est la première fois dans de telles conditions : la salle du Club Transbo est évidemment beaucoup plus imposante que le moindre salon ou la quelconque cave de bistrot où Klê a plutôt l'habitude de se produire. Le son est lui aussi bien plus imposant et tandis que certains trouvent à redire sur la qualité des balances, c'est avant tout la puissance disponible qui fera toute la différence ce soir-là. Un détail qui donne à ce set une toute autre dimension que tous ceux auxquels j'avais pu assister auparavant : tout est plus gros, plus grand, plus fort.
Mindtruder, premier album de Klê, est en écoute intégrale sur SoundCloud :
Depuis 2014, Klê présente son mini-album Mindtruder sur scène et a su ajouter ça et là des petites choses qui font qu'aujourd'hui, le résultat est clairement plus abouti qu'à ses débuts. Une vraie bonne nouvelle pour le public présent ce soir-là au Transbordeur et qui le découvrait en tant que guest invité par Pethrol pour ouvrir la soirée. Mindtruder est un recueil dont le concept repose sur le combat que mène le personnage principal contre un virus appelé "Master-K Traum", ce dernier prenant peu à peu possession de son hôte. Avec le temps, Klê a su tirer profit de ce concept pour véritablement donner vie à son personnage sur scène : comme s'il souffrait de schizophrénie, il exprime un degré différent de folie sur chaque pièce, cette folie explosant carrément sur "Fool Of Emptiness" où il quitte son poste pour s'adresser directement au public sur le devant de la scène. Pour moi qui connais le bonhomme depuis ses cinq ou six ans (ça fait vingt piges, tout de même !) et qui n'avais encore jamais vu cette mise en scène pour ce morceau, la surprise est totale ! Et malgré quelques petits soucis techniques, le set de ce cette soirée a incontestablement eu de l'impact, tant visuellement que sur le plan sonore. Des conditions rêvées pour quelqu'un qui a sans aucun doute énormément de choses à offrir encore. Loin de moi l'idée de lécher les bottes d'un pote musicien mais la prestation était à mon sens réussie.
Sont ensuite arrivés ceux que tout le monde attendait : les deux compères de Pethrol, Héloïse et Cédric, pour nous présenter pour la première fois sur scène leur tout premier album. Cela fait maintenant plus de trois ans que le projet est sur pieds et plusieurs EPs ont vu le jour : d'abord Black Gold en 2013, puis Golden Mean et Goldmund en 2014. L'année 2016 marque donc un tournant et surtout un nouveau départ pour le duo qui parle de Figures comme d'une toute nouvelle ère pour Pethrol. Et c'est évidemment à l'oreille que la différence se fait sentir.
Pethrol sur la scène du Club Transbo à l'occassion de cette release party © BabArt Redux |
Comme prévu, l'album est joué dans son intégralité, porté par la voix d'Héloïse qui parfois murmure, passe comme un souffle, ou au contraire s'élève vers des sphères emmenant l'ensemble dans un univers lunaire qu'on connaît bien chez Pethrol. Le public se dandine, danse même parfois. Car certains morceaux de cet album s'avèrent être capables de faire remuer l'auditeur, Cédric apportant une rythmique soutenue et un groove qui vaut vraiment la peine d'être vu et entendu en concert. Le batteur est d'ailleurs d'une précision remarquable et s'accorde quelques excentricités et solos bienvenus pour enrichir le tout. Mais c'est avec finalement peu d'instruments que Pethrol arrive à produire une Pop paradoxalement sombre et lumineuse qui s'entiche de beaucoup d'autres éléments musicaux : l'Electro côtoie la Pop sous des influences Rock voire même Post-Rock et Jazz. Ce n'est certes pas très marqué mais il y a dans ce projet des possibilités énormes qui ne sont pas exploitées (pour le moment ?), sans doute pour des raisons assumées et qui font toute l'identité et l'univers de la musique du duo.
Pour conclure la prestation, Héloïse invitera sur scène deux percussionnistes (...) ainsi qu'Albert Conan, ami proche et parolier de l'album pour "Le Dernier Grand Voyage", seul morceau en français de l'album et chanté en duo avec le compère. Pour ce titre, la scène s'enrichit donc de trois personnes supplémentaires et les conditions particulières de cette soirée ont permis de proposer un véritable spectacle qu'on ne risque pas de voir à chaque représentation de Pethrol, ce qui faisait aussi tout l'intérêt de cette release party. En guise de rappel, Héloïse et Cédric se proposent de prolonger la soirée en jouant tous les morceaux qui ont permis au groupe de se faire connaître dont "Chess", "Autumn's Cry" ou encore "Ouroboros".
Pethrol sur scène au Printemps de Bourges en 2014 :
Une bien belle soirée, donc, pour un instant musical de qualité, entre amis (en tout cas en ce qui me concerne), et où le nouveau visage de Pethrol s'est dévoilé d'une jolie façon. Klê, Cédric et Héloïse ont ensuite enchaîné une séance de dédicace et de dialogue avec les personnes du public qui le souhaitaient et tout le monde est rentré chez soi dans la bonne humeur. Pour faire court, c'était très bien.
Pour suivre les artistes, retrouvez Klê sur Facebook, Pethrol sur Facebook et si ce n'est pas déjà fait, allez jeter un oeil sur la page Youtube de Pethrol pour visionner les nombreux clips que le duo a déjà produit (et ceux à venir !).
10/11/2016
[Vidéo] Guillaume Perret : "Heavy Dance"
Guillaume Perret est un sorcier et cette vidéo enregistrée au Zenith de Nantes pendant la tournée d'Ibrahim Maalouf au cours de l'été 2016 ne fera pas dire le contraire ! Les conditions du lieu et les moyens mis en place pour une captation vidéo semblaient excellentes puisque c'est lors de cette même soirée qu'ont été tournées les images pour le titre "Pilgrim" dont la vidéo a été mise en ligne début septembre 2016.
"Heavy Dance" est extrait de l'album Free et si ce morceau ne dure "qu'un peu moins" de six minutes dans sa version studio, cette version live s'étale sur une bonne dizaine de minutes. Une durée qui s'explique par le travail d'enregistrement des samples et l'improvisation sur scène. Bluffant !
"Heavy Dance" est extrait de l'album Free et si ce morceau ne dure "qu'un peu moins" de six minutes dans sa version studio, cette version live s'étale sur une bonne dizaine de minutes. Une durée qui s'explique par le travail d'enregistrement des samples et l'improvisation sur scène. Bluffant !
08/11/2016
[Vidéo] Code Orange : "Forever"
C'est avec un clip très parlant - glauque, torturé, avec des images de ce qui semble être un rite satanique - que Code Orange (anciennement Code Orange Kids) annonce son nouvel album Forever prévu pour janvier 2017.
Un clip où le quatuor originaire de Pittburgh semble mettre fin à l'ère de I Am King, le précédent album, en mettant littéralement en scène le meurtre du "roi" et en détruisant sa supposée couronne... C'est bizarre, c'est sanglant et pourtant, on reste captivé.
Musicalement, Code Orange annonce l'ajout de sonorités électroniques aux aspects industriels dans ce nouvel album toujours produit par Kurt Ballou et signé cette fois chez Roadrunner Records. Selon les quatre membres, le processus d'écriture et d'enregistrement n'a pas été une partie de plaisir mais comme ils aiment si bien le dire : "Notre groupe n'est pas une affaire de fun. C'est difficile mais très gratifiant pour nous au final". Affaire à suivre.
Rappel : remater le clip pour "I Am King" qui avait servi de promo pour l'album du même nom.
Un clip où le quatuor originaire de Pittburgh semble mettre fin à l'ère de I Am King, le précédent album, en mettant littéralement en scène le meurtre du "roi" et en détruisant sa supposée couronne... C'est bizarre, c'est sanglant et pourtant, on reste captivé.
Musicalement, Code Orange annonce l'ajout de sonorités électroniques aux aspects industriels dans ce nouvel album toujours produit par Kurt Ballou et signé cette fois chez Roadrunner Records. Selon les quatre membres, le processus d'écriture et d'enregistrement n'a pas été une partie de plaisir mais comme ils aiment si bien le dire : "Notre groupe n'est pas une affaire de fun. C'est difficile mais très gratifiant pour nous au final". Affaire à suivre.
Rappel : remater le clip pour "I Am King" qui avait servi de promo pour l'album du même nom.
05/11/2016
[Vidéo] Bring Me The Horizon : "Oh No" (Paroles / Lyrics)
Cette fois, c'est pour "Oh No" qui clôture l'album That's The Spirit sorti en 2015 que Bring Me The Horizon a décidé de proposer un clip. Et c'est complètement bizarre...
La vidéo présente en effet un otage en salle d'interrogatoire qui se révèle en fait être un studio d'enregistrement. Le bonhomme est questionné afin de délivrer le plan d'un setup qui va finalement faire péter les plombs dans tout le studio... La suite est à découvrir ci-dessous. Et si vous ne comprenez rien, c'est pas vraiment grave puisqu'Oli Sykes lui-même reconnaît que le visionnage "laisse le spectateur avec plein de questions sans réponses"...
You don't have to lie, I know exactly where you've been
Cause you're chewing off my ear while you're chewing on your chin
No we're not on the level, you're just off your face
It's not a state of mind though, your head's just in a state
I may be on the outside but you're empty within
It's getting kind of old now, I think it's time to pack it in
Don't call it a party cause it never stops
Now one is too many but it's never enough
Don't tell me you're happy cause this isn't love
So be careful what you wish for
So be careful what you wish for
Who you trying to fool? You know you're in over your head
Cause you're holding onto heaven but you're hanging by a thread
No we're not on the level, you're just off your face
It's not a state of mind though, your head's just in a state
I may be on the outside but you're empty within
It's getting kind of old now, I think it's time to pack it in
Don't call it a party cause it never stops
Now one is too many but it's never enough
Don't tell me you're happy cause this isn't love
So be careful what you wish for
So be careful what you wish for
La vidéo présente en effet un otage en salle d'interrogatoire qui se révèle en fait être un studio d'enregistrement. Le bonhomme est questionné afin de délivrer le plan d'un setup qui va finalement faire péter les plombs dans tout le studio... La suite est à découvrir ci-dessous. Et si vous ne comprenez rien, c'est pas vraiment grave puisqu'Oli Sykes lui-même reconnaît que le visionnage "laisse le spectateur avec plein de questions sans réponses"...
You don't have to lie, I know exactly where you've been
Cause you're chewing off my ear while you're chewing on your chin
No we're not on the level, you're just off your face
It's not a state of mind though, your head's just in a state
I may be on the outside but you're empty within
It's getting kind of old now, I think it's time to pack it in
Don't call it a party cause it never stops
Now one is too many but it's never enough
Don't tell me you're happy cause this isn't love
So be careful what you wish for
So be careful what you wish for
Who you trying to fool? You know you're in over your head
Cause you're holding onto heaven but you're hanging by a thread
No we're not on the level, you're just off your face
It's not a state of mind though, your head's just in a state
I may be on the outside but you're empty within
It's getting kind of old now, I think it's time to pack it in
Don't call it a party cause it never stops
Now one is too many but it's never enough
Don't tell me you're happy cause this isn't love
So be careful what you wish for
So be careful what you wish for
02/11/2016
[Vidéo] Long Distance Calling : "Trauma"
Long Distance Calling avait choisi "Getaway" comme titre pour faire la promo de son album Trips sorti en avril 2016. Cette fois, c'est "Trauma" qui profite désormais d'une vidéo aux belles images et à l'ambiance lumineuse partagée entre un gris/bleu et l'orange vif qui ont déjà fait leurs preuves dans de multiples blockbusters au cinéma ou autres jeux vidéo AAA...
"Trauma" est sans doute l'un des morceaux les plus emblématiques de ce cinquième album qu'est Trips avec un riff d'intro nerveux (qui rappelle du Rammstein sur "Mein Teil"), une longue progression planante où s'incorporent parfaitement les guitares inspirées de Pink Floyd et un synthé en toile de fond pour un voyage cosmique très bien orchestré comme les allemands de Long Distance Calling savent si bien le faire. Une petite pépite qui semble pourtant avoir puisé son essence dans un événement douloureux, comme le suggère ce clip...
"Trauma" est sans doute l'un des morceaux les plus emblématiques de ce cinquième album qu'est Trips avec un riff d'intro nerveux (qui rappelle du Rammstein sur "Mein Teil"), une longue progression planante où s'incorporent parfaitement les guitares inspirées de Pink Floyd et un synthé en toile de fond pour un voyage cosmique très bien orchestré comme les allemands de Long Distance Calling savent si bien le faire. Une petite pépite qui semble pourtant avoir puisé son essence dans un événement douloureux, comme le suggère ce clip...
01/11/2016
[Vidéo] The Qemists : "Jungle" feat. Hacktivist (Paroles / Lyrics)
Alors que les britanniques de The Qemists fêtent la sortie de leur troisième album cette année (Warrior Sound chez Amazing Records le 4 mars 2016), le groupe d'Electro/Drum and Bass/Rock a une fois de plus décidé de (bien) s'entourer pour certains titres de cet album. Après un featuring avec Enter Shikari sur Spirit In The System en 2010, ce sont cette fois Kenta Koie de chez Crossfaith (pour le titre "Anger") et les deux MCs de Hacktivist qui viennent poser des couplets sur la musique de la formation originaire de Brighton.
Jermaine Hurley et Ben Marvin s'avèrent être des choix judicieux tant le discours de Warrior Sound est proche de celui d'Hacktivist. Toutefois, les deux MCs mettent cette fois leur discours politiquement et socialement engagé de côté pour davantage développer un esprit festif voué à faire bouger le public de The Qemists. Et il est vrai qu'en Live, ça doit pas mal envoyer. Pour rappel, le titre "Run You" profite lui aussi d'un clip sorti en fin d'année 2015, bien avant la sortie de l'album.
Jermaine Hurley et Ben Marvin s'avèrent être des choix judicieux tant le discours de Warrior Sound est proche de celui d'Hacktivist. Toutefois, les deux MCs mettent cette fois leur discours politiquement et socialement engagé de côté pour davantage développer un esprit festif voué à faire bouger le public de The Qemists. Et il est vrai qu'en Live, ça doit pas mal envoyer. Pour rappel, le titre "Run You" profite lui aussi d'un clip sorti en fin d'année 2015, bien avant la sortie de l'album.
In the jungle, what you gonna do (x3)
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
Tour life, high times, blaze green, no crime
JDs, all mine, Jaeger Bombs, take five
No sleep ‘til sunrise, see the state of these eyes
Get messy, no lies, going hard every night
Our life is sick cos it’s fire that we spit,
Making bodies move from the day we started this,
Got ‘em bouncing, going insane the kids lose it,
Qemists and H yeah, we’re taking over this shit
In the jungle, taking over this shit (x4)
In the jungle, what you gonna do (x3)
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
We got our foot in the door, and we’re about to smash the hinges off
In a nightclub, on cruise ship, on tour, coast to coast we cross,
From Sweden, to Finland, in season, when it’s blazing hot,
Stop off at the free town Christiana, get lean up find a spot,
Bad boy from London England, that the police are tryn’a’ stop
Cos after sound check my eyes drop, but anyway let’s get back to my job,
Everyday a different hotel key fob, got an itinerary, I can never keep up,
It’s all love I’m with my people gettin’ crunk
In the jungle, Where’s my people gettin’ crunk (x4)
In the jungle, what you gonna do (x3)
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
Tour life, high times, blaze green, no crime
JDs, all mine, Jaeger Bombs, take five
No sleep ‘til sunrise, see the state of these eyes
Get messy, no lies, going hard every night
Our life is sick cos it’s fire that we spit,
Making bodies move from the day we started this,
Got ‘em bouncing, going insane the kids lose it,
Qemists and H yeah, we’re taking over this shit
In the jungle, taking over this shit (x4)
In the jungle, what you gonna do (x3)
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
We got our foot in the door, and we’re about to smash the hinges off
In a nightclub, on cruise ship, on tour, coast to coast we cross,
From Sweden, to Finland, in season, when it’s blazing hot,
Stop off at the free town Christiana, get lean up find a spot,
Bad boy from London England, that the police are tryn’a’ stop
Cos after sound check my eyes drop, but anyway let’s get back to my job,
Everyday a different hotel key fob, got an itinerary, I can never keep up,
It’s all love I’m with my people gettin’ crunk
In the jungle, Where’s my people gettin’ crunk (x4)
In the jungle, what you gonna do (x3)
What you gonna do soundboy
Here in the jungle, we’re taking it over
What you gonna do soundboy
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